Alan Wake est un écrivain à succès, pourtant il commence à être en manque d'inspiration et décide alors de prendre quelques vacances avec sa femme, Alice. Ils se rendront alors à Bright Falls, un village qui a l'air plutôt tranquille mais qui va être le lieu de phénomènes assez étranges. Tout d'abord, Alice disparaît mystérieusement et une Ombre Noire semble en avoir après Alan. Celle-ci est capable de prendre le contrôle des habitants qui s'attaqueront à lui. Pour éliminer les ennemis, il faudra d'abord les éclairer pour retirer leur protection et ensuite, vous pourrez leur tirer dessus, mais les villageois ne seront pas vos seuls ennemis puisque l'Ombre Noire est capable de posséder également des objets, comme par exemple un bulldozer ! Heureusement vous aurez la plupart du temps avec vous une lampe torche qui se recharge automatiquement mais lentement, il sera possible de remettre des piles pour la recharger rapidement. Des lampadaires éclairés vous permettront de retrouver de l'énergie et de vous mettre en sécurité puisque vos ennemis n'attaquent bien sûr que dans le noir. Avec sa réalisation magnifique et son scénario vraiment très prenant, Alan Wake est une réussite totale !

En tant que fan invétéré de Stephen King, j'ai décidé de me lancer dans cette aventure dont je n'attendais pas grand chose après avoir pris connaissance des multiples références au célèbre écrivain. Une initiative très judicieuse, puisque ce cher Alan Wake aura finalement gagné mon affection. Autant le dire, malgré de bonnes idées, ce ne seront ni les phases d'action extrêmement répétitives, ni les mécaniques somme toute assez banales qui m'auront convaincu. En revanche, l'exploration de Bright Falls dans ses moindres recoins et l'ambiance inégalable qui l'accompagne sont dignes d'éloges et vous aspirent littéralement dans le jeu. Une atmosphère d’ailleurs d'autant plus réussie que les doublages français s'avèrent très convaincants. L'histoire est excellente et se dévore telle une série, chose qu'accentue très agréablement le découpage en épisodes. Du début à la fin, on se sent réellement impliqué dans le destin de ce personnage et l'on progresse avec passion sans lassitude aucune. Une excellente surprise comme on aimerait en découvrir plus souvent.

Attention, chef d’œuvre ABSOLU ! Trop de gens sont passés à côté d'Alan Wake, LA grosse exclu 360 ! Créé après 7 ans de labeur par les auteurs de Max Payne, le bougre s'est sacrément fait attendre, mais mon dieu que ça valait le coup ! Le titre de Remedy est un jeu de VRAIS passionnés qui démontrent dans ce titre une envie incommensurable de dépasser toutes les limites techniques et narratives, et même, de proposer finalement plus qu'un jeu vidéo mais une oeuvre cinématographique. Croisement génial entre X-Files et Twin Peaks, le joueur incarne Alan Wake, un écrivain en proie à la déprime faute d'inspiration, et qui décide de partir en week-end à Bright Falls. Sous des airs de Silent Hill au début, le jeu va très vite démontrer une ambiance radicalement plus noire et cauchemardesque. Ce qui impressionne d'emblée dans AW, c'est sa réalisation : jamais je n'avais vu une forêt aussi belle, jamais je n'avais vu de lumières aussi magnifiques, et jamais je n'avais vu les ténèbres traités avec autant de justesse. L'histoire est très addictive, les contrôles bons et la tension TRES fréquente (cette mise en scène !). Du pur bonheur pour un jeu qui rejoint direct le panthéon du jeu vidéo.

Alan Wake m'a été généreusement offert par Remedy et Microsoft dans la boite de Quantum Break. Je dois dire que je n'ai pas été déçu. Je ne suis pas spécialement friand des survival mais ici, l'ambiance m'a particulièrement touché. J'adore Shining, Twin Peaks, L'Antre de la Folie. Et Alan Wake est un mix de ces trois monuments de cinéma. Il y a tellement de clins d'œil qu'il serait difficile de tous les lister. Mais l'ambiance rattrape tous les petits soucis de gameplay ou de la moindre répétitivité qu'offre le soft. Tout ça servi sur un scénario sans cesse en mouvement et prenant, nous emmenant dans les profondeurs les plus noires de l'âme. Il ne s'agit pas tant du complexe de la feuille blanche que de l'histoire d'un homme essayant de reconquérir l'amour qu'il porte à sa femme. Les effets de lumière ainsi que les passages de brouillard participent grandement à l'impression d'oppression et de suffocation que l'on ressent en jouant à ce jeu. Le stress absolu que l'on ressent à chaque apparition d'une vague d'ennemis maudits assoiffés de votre sang... Jamais gore, cet Alan Wake est un maître de l'épouvante comme à l'époque des ténors du cinéma de ce genre.

La lumière contre les ténèbres... Alan Wake les oppose dans un survival horror impressionnant, qu'on croirait tout droit sorti d'un livre de Stephen King. On retrouve pèle-mêle le cadre (faussement) paisible d'une petite ville américaine, bordée par d'insondables forêts ; le personnage d'un écrivain en proie aux visions les plus folles ; et une matière obscure qui anime les habitants de pulsions meurtrières. Notre but : retrouver notre dulcinée. Notre précieuse alliée : une lampe-torche dont le faisceau transpercera la nuit et affaiblira l'ennemi. Découpé à la manière d'une série télévisée, Alan Wake m'a saisi par son ambiance et par sa mise en scène à couper le souffle, alternant avec maestria instants calmes et grands, très grands moments de tension. Le jeu a beau avoir de la bouteille, je trouve le rendu des scènes nocturnes stupéfiant. Rien ne m'a préparé à ça, mes petits yeux se sont écarquillés devant un tel résultat. Et dire que j'ai failli ne jamais jouer à ce jeu ! Le visuel de la boîte me faisait penser aux couvertures génériques de ces thrillers qu'on trouve au supermarché (à l'ombre des Stephen King)... Quelle erreur, c'est une surprise totale et un must de la 360 !