Ô mercantilisme ! Ô superficialité ! Voilà l'ode au nihilisme et à la médiocrité ! Barbie, succube au redoutable mal-être , tu n'es pour moi qu'infamie, tragédie de l'anachorète. Petite fille au cœur pur, tu as dû pleurer de tout ton cœur, face à ce cadeau impur, offert par un parent rêveur. Dès l'écran titre, on sent la daube merdissimale, j'en suis là à faire le pitre, face à cet analecte qui tourne bien mal. L’apparat du graphisme, teinté de superflu, alimente mon strabisme, damné d'un "je n'en peux plus". Trois pauvres gameplay, élimés en cinq secondes, ne donnent en rien à Barbie, l'immortalité d'une Joconde. Conduire, sur dix mètres, pour se jeter sur un magazine, me fait faire perdre foi en la Femme, et rallumer la benzédrine. Maquillage et podium, symbole de la réussite ? Ne me prend pas pour un con, ce "jeu" en rien n'a de mérite. Face au résultat, la colère s'alimente, pour te sauver Petite Fille, face à cet Enfer de Dante. Mais tel Virgile le Héros, tu peux la sauver. Toi le Parent file au trot, face à pareille médiocrité. Montre à l'éditeur mécréant, qu'un jour tout se paie, alors on te le rendra séant, à grand Amour et sans Regret.