Après le premier opus, ce jeu est le deuxième de la série Dragon Quest Monsters : Joker auquel je m’adonne. Uniquement sorti au Japon et donc jamais traduit officiellement, il va falloir faire appel au travail amateur de fans pour décrypter les nombreux dialogues. C’est évidemment ce que j’ai fait et bien m’en a pris, puisque le contenu de ce numéro 3 est gargantuesque ! Le principe est désormais bien rodé : nous avons toujours affaire à un jeu de capture de monstres bien ancré dans l’univers de la fameuse série. Des créatures de toutes les tailles, de toutes les formes, des fusions dans tous les sens pour en générer des nouvelles toujours plus puissantes… Bref, une base solide qu’il faudra constamment faire évoluer pour ne pas se faire dépasser par une courbe de difficulté progressive mais peu permissive. Et que serait un RPG sans un scénario béton pour l’accompagner ? S'il n'est pas le plus trépident du monde ou qu’il est parfois rébarbatif dans sa progression, il a largement de quoi occuper pendant de longues dizaines d’heures de jeu. DQMJ3 est sans conteste l’aboutissement de la série, dommage qu’il n’ait officiellement jamais quitté l’archipel.