Quel jeu mes ami(e)s, mais quel jeu ! Que ceux qui ne connaissent pas sa majestuosité F1 Race se rattrapent céans, en parcourant toutes les boutiques de leur ville, et plus si affinité, dans la perspective bien ancrée dans l'esprit de se procurer ce mythique jeu de Formule 1 signé Nintendo ! Le mode solo est déjà très accrocheur, avec ses 9 circuits dispersés un peu partout dans le monde (de l'Australie au Canada, en passant par l'URSS et les USA jusqu'au dernier niveau, où le 1er est bien chaud à battre, l'Egypte). Vous devez initialement choisir entre 2 bolides : l'un a une vitesse de pointe de 280 km/h mais monte à 360 en mode turbo (la nitro est limitée, à vous de l'utiliser avec judiciosité !), et l'autre va à 320 km/h et 350 en mode turbo. A noter que l'aspiration, bien connue des pilotes en herbe, est prise en compte et nous permet d'aller jusqu'à 380 km/h avec du timing et du tact ! Petit détail amusant, à chaque niveau passé, un personnage mythique de Nintendo vous salue au milieu d'une foule en délire (Peach, Koopa, Samus, Mario, Donkey Kong, Link, etc.) ; mais le plus fort, c'est bien le mode 4 joueurs, où l'on se fend la poire entre potes et 4 GB liées en link ! TOP !!

Vu que F1 Race est quasiment le remake de Turbo Racing NES sur Game Boy, à partir de là, je ne répond plus de rien ! Turbo Racing est un grand jeu, du moins il est excellent, il en sera donc de même pour F1 Race ! Ici, même principe : prenez plusieurs courses à disputer au volant d'une Formule 1 et c'est parti pour un combat acharné pour la première place. Mais ce qui surprend le plus pour les novices du principe de jeu, ce sont les montées en puissance en mode Turbo. On se passionne alors directement pour les prises de vitesse excessive ! Il est parfois très chaud de contrôler son bolide, mais on y prend goût. Le challenge est de taille, d'autant plus que le support délicat de la Game Boy sied merveilleusement à F1 Race. Sinon, pas grand chose à redire de plus, le vitesse ahurissante que l'on peut prendre est l'atout majeur et la particularité du soft. Le terme "grand jeu" n'est pas peut-être pas très approprié ici, mais on s'éclate bien, ce qui est bien là l'essentiel !