FIRE EMBLEM - THREE HOUSES  
Suggestions
ADMIRABLE !
Blondex Les succès des épisodes 3DS ont augmenté les attentes des joueurs pour ce premier volet sur Switch. Pour la claque graphique, vous risquez d’être déçu ; ce serait dommage de s’arrêter là, car le jeu a tellement à offrir. Le gameplay est évidemment la grande force de ce Fire Emblem : parfaitement maîtrisé, il offre une avancée progressive aux débutants comme il diversifie les cartes pour les connaisseurs (qui privilégieront le mode "Difficile"). En guise d’intermèdes amusants quoique répétitifs, votre héros inexpressif – qui brille aussi bien sur le champ de bataille qu’au salon de thé – arpente les couloirs d’un monastère hébergeant une école d’officiers aux airs de Poudlard, où il devra diriger une des 3 maisons ; un choix déterminant pour la composition de votre équipe, qui conditionnera la suite de votre aventure. Divisé en 4 campagnes différentes à la moitié du jeu, Three Houses prend une tournure dramatique en opposant des camps initialement unis, même si les qualités des histoires varient grandement : à mon sens, les routes de Dimitri et Claude sont à privilégier, tandis que celles liées à Edelgard, plus faibles, ont manifestement pâti des hésitations d'Intelligent Systems.
OUI, MAIS...
Destructor Mes attentes concernant cet épisode étaient ambitieuses compte tenu du très bon accueil critique de la presse spécialisée à sa sortie. Oui, la réalisation est à la hauteur de la Switch avec des graphismes fins et un character design travaillé et réussi. Oui, la durée de vie est grande, avec 3 quêtes possibles en sachant qu'une seule m'a pris 90H. La bande son et le gameplay sont également très bons. Les menus sont détaillés au possible et chaque personnage a sa propre histoire, ses goûts et ses facilités /affinités, avec certains types d'armes physiques ou magiques. Au niveau du scénario, c'est correct, ça se suit, sans déchaîner une attente de voir la suite, donc petite déception de ce côté là. Autres déceptions : l’intérêt limité de reproduire les cycles de dialogues dans le monastère, ainsi que les combats vite répétitifs et sans grand intérêt. Seuls les combats à la fin de chaque mois sont vraiment intéressants. Il manque donc à ce Fire Emblem - pourtant boosté par la réalisation au top et beaucoup de nouveautés par rapport aux épisodes traditionnels - ce supplément de folie, d'âme, de passion pour vraiment être une bombe du T-RPG.
OUI, MAIS...
Iglou Il faut remonter à 2007 pour avoir l'honneur d'accueillir un Fire Emblem sur console de salon, et aux vues des présentations de ce Three Houses, il était attendu au tournant. Le plus grand changement opéré par la série se trouve dans le côté sim du jeu, tout comme Persona ou un Sakurai Taisen. Lorsque vous ne serez pas en bataille, vous passerez votre temps dans l'académie à parler à vos élèves pour augmenter leur capacités, ou bien recruter les élèves d'autres classes. Un système qui se montre intéressant la première moitié de jeu, qui s'écroule toutefois passé la moitié. Les efforts sont louables, mais on est encore loin du ténor du genre. Mon plus gros problème vient surtout de la difficulté du jeu. J'ai commencé le jeu en normal, et je dois bien avouer que la première moitié de jeu est parfaitement équilibrée, mais passé un certain moment de l'histoire, le jeu n'a plus rien de tactical et vous allez écraser tous vos ennemis sans aucun soucis, parcourant même les combats en mode automatique si vous le souhaitez. Le tout mélangé avec une narration des plus soporifiques, et c'est l'ennui qui va pointer le bout de son nez la deuxième partie du jeu.
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