RIP
- Twinsen Threepwood
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Décès d'Odile Schmitt, doubleuse émérite de notre enfance. Sa voix si singulière a porté Tao dans les Mystérieuses cités d'Or, et on l'a retrouvait aussi dans Tintin, Jeanne et Serge, Princess Sarah, ou plus récemment elle était la doubleuse d'Eva Langoria. J'aimais beaucoup ses doublages.
RIP...
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Mort (du covid19) d'Alan Merill, auteur de la chanson I love rock 'n roll.
https://fr.yahoo.com/news/coronavirus-m ... 16959.html
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C'était déjà suffisamment une journée de merde comme ça...Il faut qu'elle se termine ainsi.
RIP Bill Withers...Je suis en miette ce soir.
RIP Bill Withers...Je suis en miette ce soir.
- Twinsen Threepwood
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Décès de la voix mythique de Leon S. Kennedy de Resident Evil 2 :
http://www.gamekyo.com/blog_article443980.html
Il est mort d'un cancer.
Coïncidence, j'ai recommencé la série hier...
RIP.
http://www.gamekyo.com/blog_article443980.html
Il est mort d'un cancer.
Coïncidence, j'ai recommencé la série hier...
RIP.
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Bruce Willis vient de perdre sa voix, je suis en miette...
RIP Patrick Poivey. C'était un grand, un très grand.
Quand j'y pense, Benoit Allemane a 85 balais et Richard Darbois presque 70...
- Twinsen Threepwood
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Sir Ian Holm, inoubliable Ash dans "Alien, le 8e passager" ou bien encore Bilbon le Hobbit dans "Le Seigneur des anneaux" vient de nous quitter. Il avait 88 ans.
- Twinsen Threepwood
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Le très bon papier sur Ennio Morricone, par Lord Paddle :
https://www.goldenscore.fr/indexAJS.php ... ur¶m=9
https://www.goldenscore.fr/indexAJS.php ... ur¶m=9
- Lord Paddle
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Merci, on a réalisé cette bio y a quelques années en partenariat avec mon pote Pascal Dupont qui est un immense spécialiste de toute l'oeuvre d'Ennio Morricone (j'ai jamais vu quelqu'un avec une culture pareille, j'vous jure il connaît presque tout des 40 ans de carrière de Morricone !!!). Sinon je recopie mon texte que j'ai posté hier sur mon facebook :
Impossible évidemment ce matin de ne pas parler du décès d'Ennio Morricone à 91 ans. C'était l'un des grands maîtres de la musique de film, avec une carrière exemplaire qui débuta dans les années 50 et une filmographie tellement immense qu'il existe très peu de filmo officielle (beaucoup de ses films italiens des années 60 sont très difficile à retrouver...), d'autant que le maestro composait parfois jusqu'à 5 voire 6 films en une année, ce qui est énorme.
En tant que passionné de musique de film, j'adore le Morricone expérimental des films d'Argento, comme "l'oiseau au plumage de cristal", "Le syndrome de Stendhal" (l'une de mes partitions préférées de Morricone), "le chat à neuf queues", ou un chef-d'oeuvre expérimental comme "L'Exorciste II" et ses choeurs africains ténébreux, ou bien encore "L'istruttoria è chiusa: dimentichi", un thriller italien de 1971 avec Franco Nero totalement méconnu mais avec une partition avant-gardiste extraordinaire une fois de plus, révélant tout le savoir-faire de Morricone qui fit un bref passage au festival de musique contemporaine de Donaueschingen en 1958, où il rencontra John Cage et Luigi Nono, qui lui ont probablement donné ce goût des musiques expérimentales/avant-gardiste qu'il développera par la suite dans les années 60.
Pour le grand public, il était le compositeur des westerns de Sergio Leone : il était une fois dans l'ouest, le bon la brute et le truand, la trilogie des "dollars", "il était une fois la révolution" et évidemment "il était une fois en Amérique" (qui n'est pas un western), et aussi certains westerns de Sergio Corbucci. Il y eut également sa période très connue en France avec notamment Henri Verneuil, Jacques Deray, Edouard Molinaro ou Georges Lautner et des partitions remarquables comme "Le Professionnel", "Peur sur la ville" ou bien encore "Le Marginal". Enfin il y eut la période américaine et des oeuves colossales comme le "Mission" de Roland Joffé (l'un des chef-d'oeuve du maître), "Les moissons du ciel", "les Incorruptibles" (une de mes partitions préférées de Morricone), "Mission to Mars", "Wolf" ou "Dans la ligne de mire" (difficile de tout citer...). Mais l'un de mes scores fétiches reste celui de "The Thing" qui pour moi résume bien le talent du maestro pour écrire des musiques atmosphériques sombres, agressives, psychologiques et expérimentales.
Et pour illustrer tout cela, je vous propose d'écouter l'un des morceaux emblématiques inoubliable de la carrière d'Ennio Morricone, le thème de "Il était une fois dans l'ouest" chanté merveilleusement par l'incontournable Edda Dell'Orso :
https://youtu.be/2s0-wbXC3pQ
Impossible évidemment ce matin de ne pas parler du décès d'Ennio Morricone à 91 ans. C'était l'un des grands maîtres de la musique de film, avec une carrière exemplaire qui débuta dans les années 50 et une filmographie tellement immense qu'il existe très peu de filmo officielle (beaucoup de ses films italiens des années 60 sont très difficile à retrouver...), d'autant que le maestro composait parfois jusqu'à 5 voire 6 films en une année, ce qui est énorme.
En tant que passionné de musique de film, j'adore le Morricone expérimental des films d'Argento, comme "l'oiseau au plumage de cristal", "Le syndrome de Stendhal" (l'une de mes partitions préférées de Morricone), "le chat à neuf queues", ou un chef-d'oeuvre expérimental comme "L'Exorciste II" et ses choeurs africains ténébreux, ou bien encore "L'istruttoria è chiusa: dimentichi", un thriller italien de 1971 avec Franco Nero totalement méconnu mais avec une partition avant-gardiste extraordinaire une fois de plus, révélant tout le savoir-faire de Morricone qui fit un bref passage au festival de musique contemporaine de Donaueschingen en 1958, où il rencontra John Cage et Luigi Nono, qui lui ont probablement donné ce goût des musiques expérimentales/avant-gardiste qu'il développera par la suite dans les années 60.
Pour le grand public, il était le compositeur des westerns de Sergio Leone : il était une fois dans l'ouest, le bon la brute et le truand, la trilogie des "dollars", "il était une fois la révolution" et évidemment "il était une fois en Amérique" (qui n'est pas un western), et aussi certains westerns de Sergio Corbucci. Il y eut également sa période très connue en France avec notamment Henri Verneuil, Jacques Deray, Edouard Molinaro ou Georges Lautner et des partitions remarquables comme "Le Professionnel", "Peur sur la ville" ou bien encore "Le Marginal". Enfin il y eut la période américaine et des oeuves colossales comme le "Mission" de Roland Joffé (l'un des chef-d'oeuve du maître), "Les moissons du ciel", "les Incorruptibles" (une de mes partitions préférées de Morricone), "Mission to Mars", "Wolf" ou "Dans la ligne de mire" (difficile de tout citer...). Mais l'un de mes scores fétiches reste celui de "The Thing" qui pour moi résume bien le talent du maestro pour écrire des musiques atmosphériques sombres, agressives, psychologiques et expérimentales.
Et pour illustrer tout cela, je vous propose d'écouter l'un des morceaux emblématiques inoubliable de la carrière d'Ennio Morricone, le thème de "Il était une fois dans l'ouest" chanté merveilleusement par l'incontournable Edda Dell'Orso :
https://youtu.be/2s0-wbXC3pQ
- Twinsen Threepwood
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Choc : décès de l'acteur Chadwick Boseman, alias "Black Panther", à seulement 42ans.
L'acteur souffrait en secret depuis des années d'un cancer du colon.
RIP