JAWS
Suggestions
NON !
Enker Après un Vendredi 13 haut en couleurs, le cinéma a une fois de plus frappé sur la NES -et son Hall of Shame par la même occasion. Cette fois, c'est le requin le plus célèbre au monde qui vient montrer ses dents dans un jeu pour le moins obscur ! A vrai dire, je n'ai jamais persévéré dans ce jeu, j'ai fait plusieurs tentatives sur plusieurs années mais chaque fois le résultat a été le même : je n'y comprends rien. On se ballade en bateau, on rencontre des obstacles, puis on passe en vue sous-marine où un pauvre pêcheur tire sur des raies et des méduses pour marquer des points et revenir en mode bateau. Mais parfois c'est "lui", le requin, la bête, le Jaws qui apparait ! Un mastodonte qui fait une taille énorme et sur qui les pauvres harpons ne font pas grand chose. Et c'est à peu près tout ce que je sais. Le but est-il de tuer le requin ? De trouver une arme légendaire pour y parvenir ? De taper un high-score dans le mode "pêche à la crevette" ? De faire de l'argent facile sur le dos d'une pauvre licence ? Ca doit être ça en fait. Les Américains semblent aimer les bouses infâmes, laissons-les chez eux, merci.
NON !
Wizzy On balade notre bateau sur une (belle) carte à la recherche du grand blanc. Oui, le fameux requin du film de Mr Spielberg, lequel a fait frissonner des millions de vacanciers sur le bord de mer. Des fois, lors de courtes sessions de plongée, on massacrera des dizaines d'animaux marins (des gentilles raies, des méduses espiègles et même des petits requins rigolos) pour obtenir des coquillages, des étoiles et toutes sortes de choses histoire de faire monter notre score. Et après toutes ces orgies, on verra apparaître sur la carte notre monstre marin. Ni une, ni deux, on fondra sur lui tel l'aigle royal sur la gerbille. Sauf que sous l'eau, Mr grandes dents en impose rapidement et remet vite les pendules à l'heure pour ce qui est de la notion de chaîne alimentaire. L'esquiver est facile, mais comme increvable il est, le jeu prend une drôle de tournure. Sa barre d'énergie descend tout, tout, mais alors tout doucement, au point que l'ennui l'emporte sur la joute. Et de l'ennui, s'ensuit le premier bâillement, des bâillements successifs, le gros dodo (ou roupillon, si vous préférez ce terme). Oui, c'est bien elle, la torpeur, qui a gagné ce duel sans merci entre l'Homme et le Requin !
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