ORI AND THE WILL OF THE WISPS
Suggestions
OUI !
Iglou Je ne suis pas rancunier : même si entre Ori et moi, nous n'étions pas compatibles, je me suis décidé à me lancer avec sa suite, "juste pour voir". 12h54 plus tard, je finissais Ori and the Will of the Wisps à quasi 100%. Quelle aventure que cet Ori ! Moon Studio ne s'est pas reposé sur ses acquis, et a revu entièrement sa copie ; peut-être pour le malheurs de certains, mais certainement pour mon plus grand bonheur. Ori s'accepte enfin comme un véritable metroidvania, avec des zones immenses à explorer, des secrets par centaines, des PNJ, des quêtes annexes... Pour un fan du genre, Ori 2 est un véritable rêve éveillé, avec la mise en place d'un système de combat enfin convenable ; des scènes de plateforme exigeantes, mais laissant place à l’erreur et même à l’improvisation ; un système de build permettant de créer son "ori"... Difficile de passer à côté de la beauté du jeu, et Gareth Cocker remet le couvert à la musique pour notre plus grand plaisir. Conte onirique, gameplay maitrisé, émouvant, touchant, profond... Moon Studio, cette fois-ci, vous m'avez eu ! Ori and the Will of the Wisps est un chef d’œuvre du genre.
DE L'ART EN JEU VIDEO
PXL Le premier épisode était dépaysant par son univers, mais on avançait en terrain connu du genre MetroidVania. Ici, on s'en rapproche encore plus : le jeu est plus long, plus grand, plus beau et toujours plus agréable à jouer. Un peu déroutant de prime abord, car les touches ont changé, mais on s'habitue finalement très vite à cette nouvelle maniabilité et on prend une grosse dose de plaisir à chaque nouveau pouvoir à maîtriser. Rendant le parcours de la map si fluide et si grisant qu'on garde le sourire aux lèvres en permanence... jusqu'au premier bug. Malheureusement, le jeu a été fini à la pisse, les freezes de plusieurs secondes sont récurrents, le retour au menu de la console, ça arrive, tout comme la résurrection sous un piège écrasant, nous faisant entrer dans un cycle infini de mort. Quel dommage ! Car sorti de ces défauts, le jeu apporte un vrai vent de fraîcheur à son propre genre : on y découvre plus tard, une sorte de QG où l'on aura des quêtes à réaliser entre autres. Il y a également des zones de défis à speedrunner. N'oublions pas son OST toujours aussi envoûtante ! Un jeu véritablement bouleversant et addictif !
OUI !
Wizzy Dès ma première partie, j'ai cru que j'allais laisser tomber. Une armada de ralentissements défilait sous mes yeux. Et puis comme par enchantement, lors de mes parties suivantes, ce méchant lag a disparu pour laisser la place à quelques freezes par-ci par-là. Ouf, on va dire ! Ces errements techniques sonnent faux, ils sont comme étrangers au jeu car Ori and the Will of the Wisps a tout de la merveille annoncée. C'est beau à en pleurer, remarquable côté gameplay et level design, et surtout, le rythme est saisissant. Difficile de rester de marbre devant notre petit Ori qui virevolte avec fougue pour s'accrocher à la moindre paroi. Difficile de ne pas s'émerveiller devant ce monde, qui en plus d'être immense, est enchanteur ; chaleureux même avec des rencontres en nombre, des quêtes et un village à reconstruire. Ori dispose désormais d'une lame des plus intuitives pour sabrer les ennemis, et la contrainte des checkpoints limités du premier Ori a disparu, ce qui change un peu la nature du jeu. Alors qu'on avançait à tâtons, parfois, dans l'épisode précédent, notre progression est ici effrénée... Jusqu'à l'ivresse !
ConsolesPlus.net   1UP   Jeux Classiques   Poulpeo
Protected by Copyscape Web Plagiarism Software