A bord de notre fier biplan, nous allons bombarder des gorilles en haut des immeubles (pour simplifier, car les immeubles ont une drôle de tête dans ce jeu) pour sauver des animaux qu'ils retiennent dans des cages. C'est-y-pas mignon tout ça, allez hop envolons nous dans ces labyrinthes urbains pour sauver ces lapins et ces tortues... Le jeu ne pardonne pas, le moindre contact avec autre chose que de l'air, et c'est le crash. Et ce n'est pas évident car le biplan est toujours en mouvement (logique, dans les airs). Dès que le labyrinthe se complexifie (passé le premier tableau), le jeu devient très dur et très énervant. On abandonnera sans regret car les graphismes baignent dans un fond noir hautement déprimant (Hello, Mme Neurasthénie) et le bourdonnement du moteur comme seule bande sonore vous filera un bon mal de crâne (mal de crâne et déprime; les 2 ensembles, il faut quand même le faire).