Mario, c'est comme un rituel pour moi : c'est le premier jeu vidéo que j'ai eu (Super Mario Bros, sur NES), et depuis, à chaque fois que j'acquiers une console Nintendo, j'achète en premier... Mario ! C'est toujours bon de commencer par une valeur sûre ! Et Super Mario Sunshine en est une ! La réalisation est, comme à l'accoutumée, exceptionnelle : c'est vraiment féérique. Les graphismes sont plein de couleurs chatoyantes, les musiques merveilleuses... Bref, on sait tout de suite qu'on est bien dans un Mario ! Le gameplay est impeccable, puisque Mario répond très bien à toutes nos exigences, et qu'il est possible, par ailleurs, de déplacer la caméra comme on l'entend. Enfin, le dernier point fort est sans doute la durée de vie : on jouit d'une véritable liberté de mouvements, pour parcourir les nombreux mondes qui constituent l'univers de Super Mario Sunshine. CONCLUSION : Une vrai bombe ! Un magnifique jeu de plates-formes, qui ravira tous les joueurs, grands et petits.

A chaque console Nintendo son Mario, et c'est chose faite avec ce Super Mario Sunshine, qui vient émoustiller le processeur 128 bits de la Game Cube ! Quelle claque ! Ce nouvel épisode est aussi réussi que les précédents, et comme à chaque fois, Maître Miyamoto arrive à nous faire rêver ! Le monde de Mario Sunshine est on ne peut plus mignon : décors féériques, couleurs chatoyantes, design superbe... bref, on nage en plein bonheur et on ne va pas s'en plaindre ! Très inspiré de Mario 64, ce nouvel opus arrive toujours à surprendre grâce à des idées ingénieuses. Par exemple, il est possible d'utiliser un accessoire qui vous permettra soit de jeter de l'eau sur des ennemis, soit d'effacer de vilains graffitis, ou bien encore de vous propulser dans les airs afin d'atteindre des endroits inaccessibles autrement. Les musiques collent parfaitement à l'univers du plombier italien, et il va sans dire que la durée est très élevée : terminer l'aventure à 100% vous prendra beaucoup de temps. Une bombe !

Super Mario Sunshine dénature complètement la série (mais ce n'est que mon avis) ! Bien que graphiquement somptueux, j'ai carrément détesté ce type de gameplay, avec la lance à eau. Les niveaux se ressemblent trop à mon goût et surtout, la voix horripilante de cette lance à eau me fait hurler. Original par certains aspects, chiant par d'autres, Super Mario Sunshine est l'une de mes plus grosses déceptions de tous les temps. Et puis, je n'arrive pas à terminer ces niveaux "old-school-prise-de-tête" !!

Ce jeu est pas mal, mais pas à la hauteur de nos espérances aprés celui de la Nintendo 64. Au niveau graphismes, il est beau, mais sans plus. L'histoire est d'une grande originalité: la pricesse Peach s'est fait enlevée... Le problème est que ça quitte un peu le concept des Mario, qui consistaient à tuer les ennemis uniquement en leur sautant dessus et rien d'autre. Le jeu ne s'adresse donc pas aux véritables fans de la série, mais je pense uniquement aux plus jeunes.

Alors là, c'est le "ponpon" ! Mais qu'est ce que c'est que ce Mario ?! Après Luigi et son aspirateur, nous avons le droit maintenant à Mario et son karcher... L'univers de cet épisode est déroutant et puéril à souhait. Ok, je sais qu'il faut varier le scénario d'un jeu à l'autre, mais là, Nintendo a vraiment fait n'importe quoi ; Parti sur une île pour des vacances méritées pour lui et sa princesse, Mario est accusé d'avoir "sali" ce beau pays... Il faut donc qu'il retrouve le "pollueur" ! Cette île est habitée par des êtres étrangement laids, qui ressemblent à des Barbapapas d'occasion. Que c'est "gnan-gnan"... Auraient-ils oublié que les fans de Mario ont grandi ? Ce jeu convient aux enfants de 7 ans, pas plus ! Mais si ce n'était que ça... Problèmes de jouabilité, de caméras mal placées sont quotidien dans ce jeu qui cumule pourtant des niveaux particulièrement ardus... Essayez donc les niveaux "old school" et vous comprendrez... Bref, je suis fâché de voir ce qu'on fait de Mario ! A quand Peach et son plumeau ou Toad et sa tondeuse ?!

On nous avait promis un Mario 128, et voilà surgir ce Super Mario Sunshine qui narre les vacances gâchées de Mario, condamné à tort pour avoir sali l'île Delfino. Equipé de sa pompe à eau multi-fonctions (qui fait lance à eau et jet pack), Mario se lance à la poursuite du véritable responsable des dégâts, tout en restaurant l'éclat naturel de l'île. L'idée de départ est originale, même si on saisit mal au départ toute l'ampleur de la tâche - c'est peu de le dire - qui attend Mario. Au lieu d'étoiles, Mario doit récupérer des soleils (120 au total) qui permettent d'accéder à de nouveaux niveaux, mais déclenchent aussi des événements (dont l'inévitable enlèvement de Peach, mais aussi l'inondation de la ville). Finalement, pas de réelles surprises, car la formule reste la même que Super Mario 64, avec moins de magie, une maniabilité moyenne due à une caméra instable, et même quelques bons ratages (qui a eu l'idée des pièces bleues ?). La réalisation générale est de bonne qualité, avec des musiques qui font encore mouche (et un remix a capella du thème de Mario 1 !) et des graphismes sympas. Pour autant, Mario Sunshine ne mérite pas le statut de grand classique.

Après un excellent épisode sur Nintendo 64, Mario revient dans une nouvelle aventure en se la jouant écolo. Enfin, lui, il voulu juste passer des vacances sur l'île Delfino, mais un petit malin qui a pris son apparence, s'est amusé à y mettre de la peinture partout. Mario se voit donc tenu responsable de tout ça, et il va devoir nettoyer complètement l'île grâce à une pompe à eau qui s'appelle JET, et qui est même capable de parler. On explore donc l'île au travers de différents niveaux, qui comportent tous plusieurs objectifs à accomplir : si certains peuvent être assez simples, d'autres, au contraire, peuvent être vraiment très difficiles. Mario se contrôle plutôt bien et les Yoshis seront également de la partie pour vous aider à avancer. Le jeu est vraiment très beau, tout est très coloré et très bien détaillé. Bref, voilà un excellent jeu de plates-formes, qui devrait vous plaire, surtout si vous avez aimé l'épisode sur N64 !

Ce fut un bien triste jour, lorsque je me suis décidé à me procurer Mario Sunshine qui fut le premier épisode de la série à réellement me décevoir. Des habitants de l'île Delphino complètement ridicules aux abominables courses de calamars, ce planning de vacances est pour le moins indigeste. La maniabilité est douteuse, les missions sans grande imagination comparé à l'opus N64 et la difficulté tout simplement mal dosée. Je me suis ennuyé du début à la fin et, autant le dire, je me suis forcé à progresser uniquement par amour de la saga. Bref, ce que je croyais être une valeur sûre à acheter les yeux fermés s'est métamorphosée en une énorme déception.

Tout comme Wave, le jour où j'ai acquis Sunshine fut bien triste... Le premier Mario qui n'était pas parfait. Pire, sous bien des points, on peut même le qualifier de mauvais ! Point positifs : une aventure longue, au contenu conséquent, avec une réalisation technique qui atteint parfois le très bon (notamment pour les effets spéciaux), ainsi qu'une BO très sympa et ENFIN un Mario modélisé avec exactitude. Notre rêve allait enfin devenir réalité. Problème ? Tout le reste, qui ne va pas. Level design sans imagination, système avec le jetpack lourdingue, beaucoup de problèmes techniques (aliasing, bugs à profusions, ralentissements, caméra catastrophique qu'on doit corriger en permanence), difficulté extrêmement mal dosée (mon Dieu, les niveaux classiques...). Pour la première fois de son histoire, Mario était lourdingue, et certains joueurs, notamment les plus jeunes, ont découvert (et vite expédié) le plus célèbre des plombiers au rang de licence surcotée. Pour un pro-Nintendo ayant grandi avec le célèbre italien, ce fut un véritable crève-cœur, et c'est le seul Mario qui m'a fait tellement rager que je ne l'ai jamais fini, la mort dans l'âme. Un triste souvenir...

Toujours aussi efficace, Mario revient sur GameCube avec sa lance à eau ! La particularité de cet épisode est de se servir de cet accessoire pour effacer les tags du méchant Mario et tuer les ennemis en projetant de l'eau. Avec une réalisation à la hauteur, des couleurs plein l'écran et une ambiance toujours aussi charismatique, explorer les niveaux est toujours aussi grisant, le monde représenté en 3D étant vaste, et le jeu assez long. A noter toutefois que la magie de Mario 64 s'est estompée sur cet épisode, et la révolution qu'avait créée son aîné n'est pas reproduite sur GameCube.