THE LEGEND OF ZELDA - SPIRIT TRACKS  
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BONNE AVENTURE !
Blondex Deuxième Zelda sur DS, Spirit Tracks s’inscrit dans la continuité de Phantom Hourglass, reproduisant le modèle innovant de ce dernier. Seulement cette fois, l’effet de surprise ne joue plus, et ce n’est pas le premier voyage en train qui permettra de pleinement entrer dans cette aventure. En fait, c’est progressivement que Spirit Tracks séduit, à mesure que de nouvelles voies s’ouvrent. Les voyages en train deviennent en effet agréables, et de très nombreuses quêtes annexes feront appel à vos compétences de conducteur pour transporter voyageurs et marchandises. Mais l’aventure en elle-même se révèle également bien construite et suffisamment longue. Les quelques défauts assez gênants de Phantom Hourglass ont été gommés, notamment les musiques, plus variées et marquantes. Plus grande variété également des donjons, et enfin, pour finir, une alliée finalement assez inhabituelle : la princesse Zelda en personne, réduite sous forme d’esprit, qui vous accompagnera pour la première fois de la série du début à la fin de votre quête. Le seul défaut de ce Spirit Tracks est de rarement surprendre l’habitué, mais la belle affaire, quand l’aventure se révèle aussi réussie !
OUI !
Dacobah Si au fond le gameplay de Spirit Tracks semble assez calqué sur Phantom Hourglass, il faut reconnaître qu'il gomme les défauts du précédent volet comme le donjon chronométré ou les étages dans lesquels il fallait revenir plusieurs fois de suite. En plus, la princesse Zelda maintenant complice de Link, le suit sous une forme spectrale en espérant retrouver son corps subtilisé. Mieux que Navi, elle va également aider le joueur de nombreuses fois en s'emparant d'armures ancestrales et nous permettant ainsi d'atteindre des endroits inaccessibles autrement. Mais revenons au titre du jeu Spirit Tracks. A l'origine, Link est conducteur de trains mais se retrouve malgré lui embarqué dans une aventure qui lui demande d'utiliser son engin et de restaurer les voies. Les paysages changent rapidement. On passe ainsi de rails sur la neige aux voies sous la mer. Parfois il faut embarquer des passagers et respecter le balisage ferroviaire mais c'est loin d'être un Train Simulator et tous les trajets procurent beaucoup de fun. Entre les locomotives kamikazes à éviter, les pierres à casser, les lapins à trouver, les bêtes à effrayer ou à bombarder avec son canon, ce jeu semble indispensable sur DS !
JE DECROCHE LES WAGONS...
Mérode Au fil du temps, Zelda a toujours cherché à se réinventer. On ne peut pas lui reprocher, mais depuis la période de Wind Waker, et ce jusqu’à Breath of the Wild, j'avais l'amusante impression de voir se profiler un schéma assez redondant : celui de Martine fait du bateau, Martine se change en loup, Martine apprend à voler, et pour cet épisode, eh bien Martine conduit une locomotive. Allez hop, tchoutchou ! Avec son gameplay au stylet très fonctionnel mais qui me laisse de marbre, et ses phases de tirs sans grand intérêt à bord du train, Spirit Tracks s'ouvre - comme à l’accoutumé à cette époque - sur la trop longue phase d'introduction tutorielle scénarisée totalement inintéressante. Elle déroule un univers que j'ai peine à reconnaître, avec une ribambelle de NPC random pas très élégants. Suis-je vraiment dans un Zelda, ou suis-je en train de jouer à un nouvel univers signé Level 5 ? La complicité avec la princesse Zelda est la seule nouveauté vraiment pertinente de cet opus, qui se contente d'appliquer ses leçons en offrant un jeu au level design fonctionnel basé sur les temples et les mécaniques liés aux objets symboliques de la série.
LE TRAIN ? A QUAND L'AVION ?
PXL Spirit Tracks, ou autrement dit, le Zelda le plus horrible de toute la série ! C'est vraiment l'épisode que j'exècre le plus. Voilà c'est dit. Si vous avez le courage de lire la suite, la voici. Un épisode d'un ennui absolu et d'une frustration exacerbée. Toujours ce fichu donjon central. Sans parler des circuits de train monotones et prise de tête, avec les locomotives ennemis qui roulent deux fois plus vite que vous. Il va falloir, dans le donjon central, diriger deux personnages. Et autant vous le dire de suite, ce ne sera pas une sinécure. Et plus vous montez dans les étages, plus l'aventure semble impossible. Il va falloir totalement déconnecter votre cerveau et essayer de comprendre la logique des développeurs japonais qui avaient dû bien trop abusé du saké lors de la production de cet épisode. Je vous le dis en mille : le jeu est nul, la jouabilité est nulle, la fin est nulle. Le thème musical de la map sauve le soft du désastre complet. Je déteste cet épisode mais je vous l'ai déjà dit. C'était pour être sûr que vous ayez compris. Le pire, c'est que je l'ai fini deux fois, je dois être maso sans doute.
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