7760 jeux // 9157 avis // 7082 screenshots // 1741 musiques // 51 dossiers
Vous avez toujours rêvé de délivrer une belle guerrière des griffes d'un odieux sorcier ? Vous aimez les glaives et les slips ? Si oui, Barbarian est fait pour vous ! Barbarian est un jeu de baston atypique : Vous incarnez un guerrier qui va devoir combattre une dizaine de combattants pour enfin libérer sa belle. Les combats se font aux glaives, avec également coups de pied, de tête et roulade. Une maniabilité pas évidente au début, mais qui finalement, propose un gameplay assez riche. Vos adversaires sont des clones de votre héros avec, comme seul changement, leurs couleurs. Plus vous avancez dans les combats, plus la difficulté devient éprouvante. La réalisation globale du jeu est vraiment sympa, avec une animation remarquable et des couleurs nombreuses. Mais ce qui marqua vraiment les joueurs de l'époque, c'était sa violence ! Car oui, dans Barbarian, on pouvait décapiter son adversaire à l'aide d'un coup de glaive bien placé. La tête roulait alors au sol. Un gnome venait alors ramasser le corps du malheureux et mettait un coup de pied dans la tête inerte. Inoubliable. Barbarian était jouissif et a marqué les joueurs CPC ! Un must de la machine !
Que serait les années 80 sans ce titre légendaire de Palace Software ? Rien que la jaquette du jeu avec Maria Whittaker en bikini est cultissime ! Surfant sur la vague du film "Conan le Barbare", Barbarian nous met dans la peau d'un chevelu body-buildé, armé de son gros glaive. Les pecs saillants, il nous faudra affonter son jumeau dans des duels virils et tendus. Oui, notre héros est un peu lent à se déplacer mais une fois qu'on a les commandes bien en main (roulade pour esquiver ou se rapprocher et tranchage dans le lard), on prend beaucoup de plaisir à enchaîner les victoires. Contre le CPU, on pourra voyager à travers trois décors luxuriants (pour l'époque, c'était Byzance). A deux, le jeu devient génial car si l'autre adversaire a le même niveau, l'ambiance devient survoltée. Les revanches s'enchaînent sans fin (que de souvenirs !), les combats se finissant souvent de manière prématurée par une (traumatisante ou jouissive) décapitation. Clou du spectacle, le facétieux lutin entre en scène pour jouer au foot avec la tête du vaincu (la vôtre peut-être ?).