Ô Barbie, ma déesse, ma Vénus, ma Méduse ; tu es mon avanie, ma caresse, mon anus, confuse. Tel le Scalde cruellement oublié, j'avais tiré un trait sur toi, Ô mon Amour contrarié. Parler de toi tient donc de l'Apophasis, mais te revoilà, intellection de l'Apocalypse. Faire du shopping est ta nature principielle, c'est évident; mais cela ne te rend pas plus belle, infâme fatuité, sombre néant. Te voir sauter sur les plateformes, tel PXL sur une Sega ; amène à la délicatesse, l'impéritie d'une feuille morne, non d'une gazelle, aucun débat. Qu'importe les flammes gisantes dans un centre commercial, la congruence se veut errante, sans un effort, bien peu trivial. Certes, tu tentes de me séduire, de ton memory et tes chapitres de sirène ; mais rien ne change, je prend le pire, mon acrimonie, au cœur bien blême. Barbie, de cet épisode, tu as la plus belle de tes aventures ; je ne ferais cependant pas une ode ou moins de zèle, de ton triste futur. Tu es ma Nemesis, ma désinence, ma tendre aimée. Je te fuis, Aliénatrice, d'une transcendance, moins innervée. Qu'importe tes transformations, ou tes diamants, que tu nous lances ; tu seras ma prétérition, d'un amour navré, le cœur bien rance