BIOSHOCK
Suggestions
UN GRAND JEU !
Blondex Dans ce concert de louanges acclamant Bioshock, vous n'allez pas me trouver très inspiré ! Ah c’est vrai que sur le fond, il ne révolutionne rien : le déroulement du jeu est assez linéaire, le Game Over proscrit, l’arsenal classique, et les pouvoirs spéciaux (feu, glace...) ne sont pas une nouveauté. Un gameplay simple mais maitrisé, au service de la réalisation générale. Bioshock vous envoie en 1960 dans une cité sous-marine, réalisation d’une utopie où scientifiques et artistes ne seraient pas bridés par les gouvernements. Hélas, le rêve a tourné au cauchemar, les habitants sont devenus des monstres, et vous devrez aider un survivant. L’ambiance, alliant le raffiné (décors originaux style art déco très réussis, musiques des années 40-50) à la folie destructrice habitant le lieu, est bien plus que réussie, c’est une prouesse artistique qui rend l’expérience de jeu et l'histoire particulièrement prenantes. Chaque bruit devient pesant, chaque découverte révèle un scénario d'une grande richesse, et on se surprend souvent à contempler le cadre pour s’imprégner de cette ambiance. Et en plus, l’aventure est longue ! Franchement, chapeau bas !
OUI !
Romain Dans BioShock, vous évoluez dans Rapture, une cité située sous l'océan, dont les habitants ont tous été transformés en d'étranges créatures appelés chrosômes. Pour leur faire face, vous aurez plusieurs possibilités : avec votre bras droit vous pourrez utiliser des armes classiques et avec celui de gauche, il sera possible d'utiliser différents pouvoir comme par exemple électrocuter vos ennemis, les brûler ou encore les congeler. Mais le gros point fort du jeu vient surtout de son ambiance, on avance dans des décors très réussis avec des musiques dans le style année 40-50, en y explorant chaque recoins afin d'y trouver de l'argent ou des objets qui vous permettront d'améliorer vos armes. Le scénario est vraiment bien travaillé et plus on avance dans l'histoire, plus on souhaite en apprendre plus sur l'histoire de Rapture et de ses habitants. La difficulté n'est pas très élevée puisqu'il n'y a pas de Game Over ; lorsque l'on perd, on se retrouve directement dans une vita-chambre, qui fait office de check point, sans que les ennemis récupèrent leur énergie. En tout cas, le jeu est assez long et prenant pour en faire un FPS d'une excellente qualité !
OUI !
Wizzy D’habitude, un FPS, ça passe tout à la moulinette du carnage. Bioshock est un peu « le tea-time » du genre, raffiné, servi avec ses douilles de biscuits gourmands et sa liqueur rouge fluo en capsule. On nous plonge au fond des océans, dans une cité immergée, quelque part entre Le Meilleur des Mondes et Metropolis. On progresse dans de beaux décors rétro-futuristes, à l‘abandon, sur des airs désuets. Quand soudain, la lumière s’éteint… Bioshock captive comme rarement. Outre l’armement délicieusement daté, on glanera différents pouvoirs (électricité, feu, télékinésie…) avec lesquels on jonglera suivant les situations. On a même la possibilité de se faire aider en piratant des tourelles volantes. Avec toutes ces possibilités pour abattre les ennemis et un système d’amélioration particulièrement ingénieux, vraiment, la chose la plus dure à faire dans Bioshock sera de lâcher la manette.
OUI !
Destructor Si j'ai eu un peu de mal au départ à me faire à la carte et aux combats que je trouvais déstabilisants et brouillons, ce sentiment est rapidement parti au fur et à mesure de ma progression dans Rapture. Le fait de ramasser des tonnes d'objets a motivé mon exploration, j'ai trouvé le scénario du jeu très recherché et ça a été un plaisir de découvrir les messages audio laissés avant le cataclysme. La durée de vie pour ce genre de jeu est très satisfaisante, dommage par contre que la réalisation soit plus faiblarde sur PS3 que sur Xbox 360 et PC.
OUI !
Wave Bioshock est un cas tout à fait particulier dans ma carrière de joueur, dans le sens où mon admiration est exclusivement représentative du background. Il est vrai que ce dernier a de quoi impressionner : Rapture est passionnante à explorer, le contexte politique et philosophique impressionnant et ses multiples "petits" détails à l'exemple de la propagande forcent le respect. Et cette musique... un régal. Comment rester de marbre face à un tel travail ? Cela me paraît impossible. A côté de cela, il faut reconnaître que les mécaniques de jeu n'apportent rien de réellement transcendant : le gameplay est somme toute basique et sans grande révolution, l'IA effectivement discutable, la durée de vie tout juste correcte... mais qu'importe ! On passera outre cet aspect et on appréciera Bioshock pour sa toile de fond, son ambition démesurée et son univers incroyablement riche. Une œuvre d'art, en somme.
UN BEAU PAQUET
Kuroro Bioshock, ce sont des décors fabuleux, une immersion totale, une histoire entraînante, de réels cas de conscience, le tout accompagné d'un gameplay mal développé et d'une liberté factice. En effet, le gros attrait du jeu est sans conteste son univers si original, qui terrifie autant qu'il attire. Mais après quelques heures de jeu, on se rend vite compte que la liberté dans Rapture dont le joueur dispose est inexistante : Vous suivrez toujours et encore un chemin prédéfini, ne donnant lieu qu'à un véritable choix dans l'orientation : "vais-je explorer cette pièce ou non ?". Ensuite, le gameplay... L'idée du gameplay est excellente, combiner les pouvoirs (peu originaux certes, mais ça c'est pas trop grave) à des armes à feu à peu près classiques, c'est super. Mais une précision si bancale avec les armes à feu, c'est moins super ; ce qui rend certains FPS sympa s'envole immédiatement. Evidemment, je n'ai parlé là que des défauts de Bioshock puisque je ne les trouves pas assez évoqués, mais à côté de ça, c'est un excellent jeu avec une immersion hors du commun et une mise en scène stupéfiante.
SEMI-DECEPTION
Twinsen Threepwood Bioshock est clairement un jeu majeur de la précédente génération pour beaucoup de joueurs. L'ayant fait dès sa sortie, je dois avouer avec regret que la sauce n'a que moyennement pris avec moi. Pour être plus précis, mon passage préféré, c'est l'intro, sublime et très bien foutue. Passé cela, j'avoue m’être passablement ennuyé, même s'il y a clairement quelques bons moments par-ci par-là. Techniquement le jeu est splendide, mais commence sérieusement à subir les affres du temps. Artistiquement rien à redire, le travail fait toujours date et est magnifique. L'histoire, enfin dans son résumé, est plutôt sympathique, intelligente, parfois touchante, avec un très bon twist final. Son déroulement m'a en revanche plus posé problème en terme de rythme. Les armes sont sympa, le système de plasmide vraiment cool, le character design très original mais hitbox un peu imprécise. Alors pourquoi cela n'a pas pris avec moi ? A cause du game design. Les situations de combat, bien qu'abouties, sont juste ultra répétitives et très rapidement lassantes. L'ultra linéarité du jeu n'a pas non plus aidé. J'en ressors donc mitigé. Privilégiez les versions PC et 360, techniquement largement plus aboutie.
DEMI CHOC
Guisbeu Bioshock a été encensé par la critique, à juste titre. Techniquement splendide (même si étonnamment plus fonctionnel sur Xbox 360 que sur PS3), le jeu bénéficie d'une direction artistique unique, et d'un univers entre le steampunk et la Belle époque. Le background est très développé, et on aura à cœur de découvrir ce qu'il s'est passé pour que l'utopie sous-marine se transforme en sanatorium. Le twist final m'a personnellement laissé sur le derrière, tant je ne m'y étais pas préparé. L'ambiance délicieusement malsaine est très bien entretenue grâce à un script intelligent. Passé cela... Oui, le système de plasmides est sympathique, les combats sont intenses (surtout les Big Daddy), les armes sont "efficaces", mais on reste dans un FPS très classique, très dirigiste, avec une IA parfois très basique. En somme, un très bel écrin pour un contenu qualitatif mais peu innovant. Ça mérite un "Oui !". Déçus du soft, ne m'en veuillez pas je vous prie.
SOMEWHERE UNDER THE SEA...
Jane Doe Bioshock fut une belle surprise de part son environnement design et son ambiance. En 1960, Jack, seul survivant d'un crash aérien, se réfugie dans la ville sous-marine de Rapture, fondée par le mégalo Andrew Ryan, qui a tenté d’y instaurer une société utopique et qui en a finalement fait un asile de fous. Un FPS où la violence atteint certes des sommets, mais une violence justifiée. Au fur et à mesure où on découvre l’histoire de cette cité engloutie, on doit renoncer à ses convictions personnelles pour survivre. Mais on se lasse vite d'être canardé sans répit. On n’a d’autre choix que de répondre de la même manière, et ce avec imprécision, ce qui finit par énerver. C’est dommage, car cela entrave souvent l’exploration, empêchant de s’imaginer la splendeur que fut Rapture, somptueuse cité Art déco riche de détails. De nombreux enregistrements audios nous retracent son histoire avant, pendant et après sa déchéance. En cela, ce jeu est un bijou de narration. La musique est parfaite. Il y a trop peu de place ici pour vous résumer le message véhiculé par Bioshock. Le twist final est à couper le souffle. Petites Sœurs, Big Daddies, Adam, Eve et Plasmides... Une expérience à (re)vivre.
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