Jérémy, un chevalier lié par le sang à une vampire, Alysa, devient vampire à son tour... Et là, micmac de chez micmac, y a des monstres partout qu'il faut tuer pour rétablir un équilibre d'on ne sait quoi... Voilà pour l'histoire. Oui, j'avoue, je n'ai pas tout compris mais dans un hack'n'slash, est-ce bien là l'essentiel ? Parlons plutôt des points positifs... Pour ce que le jeu a à offrir, c'est à dire pas grand chose, le mode co-op n'est pas mauvais. Tout seul, on peut switcher entre les deux persos, ce qui s'avère sympa : attaque au corps à corps pour Jérémy, à distance pour Alysa. Sinon pour le reste, on tente par tous les moyens de nous faire passer des vessies pour des lanternes. Les modélisations des persos et les décors rappellent les temps anciens de la 3D d'il y a dix ans. Le côté Aventure RPG avec des dialogues et un inventaire fait gadget, tout comme l'évolution des compétences martiales, très limitée et plutôt cache-misère. Tout le long, le jeu reste et restera un long couloir sans fin, avec quelques moments plate-formes, pénibles, pour nous faire croire que c'est varié. A peine sorti, ce Diablo de pacotille fleure bon le bac à solde.