CASTLEVANIA - ARIA OF SORROW
Suggestions
OUI !
AlexSensei La série des Castlevania est un monument des jeux vidéo. Je l'ai découverte avec le mythique Symphony Of the Night, et depuis je n'en suis toujours pas revenu... (Si si, je vous jure !). La GBA a été un excellent support pour cette série, puisque trois volets sont sortis dessus, mais Aria Of Sorrow est sans conteste le plus abouti. Au niveau de la réalisation, c'est comme d'habitude du très bon travail : Les graphismes sont éblouissants (surtout sur GBA SP !) et les musiques magnifiques. Le scénario est, en outre, très novateur, puisque le héros n'est pas un Belmont. La jouabilité est toujours impeccable : le perso et son attirail se manie avec joie, et la touche RPG très bien gérée. Néanmoins, le seul regret que l'on peut avoir est la durée vie assez courte, que le côté RPG rallonge quand même. Mais c'est normal : plus c'est bon, plus on en veut ! CONCLUSION : Un vrai hit sur GBA. A conseiller avec ferveur à tous les joueurs !
EXCELLENT JEU !
Blondex Troisième volet sur GBA, Aria of Sorrow ne déroge pas à la tradition établie par ses prédécesseurs sur le support. Jusque là peu emballé par le modèle de Symphony of the Night, c’est donc avec un manque d'enthousiasme que je me suis lancé dans l'exploration de cet énième château. Pourtant, les premières minutes de jeu sont convaincantes : l’histoire est mystérieuse, et donne d’emblée l’envie d’avancer, ainsi que d’en savoir plus sur le sort du héros, Soma Cruz (en dépit de son faible charisme). Au rayon nouveautés, votre héros absorbe les pouvoirs des ennemis et peut les utiliser par la suite, ce qui lui confère une très large panoplie de moyens d’attaque et de défense. Il peut aussi posséder plusieurs armes, du petit couteau de départ aux épées les plus puissantes... et même un fouet ! Surtout, la réalisation globale est exceptionnelle : les graphismes sont fins et superbes, les musiques agréables, et le jeu est relativement long. En fait, Aria of Sorrow cumule les qualités de ses prédécesseurs sur GBA et gomme leurs principaux défauts. Dans la catégorie des metroidvania, je le trouve même bien meilleur que la référence Symphony of the Night. Incontournable sur GBA !
OUI !
Romain Aria of Sorrow, c'est seulement le deuxième Castlevania que je fais, et je peux dire que je me suis pris une grosse claque avec ce jeu. L'exploration du château et le côté RPG m'ont rendu complètement accro. Le château est assez grand avec de nombreux ennemis et des décors vraiment très diversifiés avec, parfois, des effets très réussis. De nombreuses armes sont à récupérer avec en plus, la possibilité d'utiliser le pouvoir des ennemis. Il n'y a pas grand chose à reprocher à ce jeu : pratiquement tout est parfait, que ce soit au niveau des musiques, de la jouabilité, des graphismes ou encore de la durée de vie qui reste tout à fait correcte pour un jeu portable ! Bref, avec Aria of Sorrow, la GBA montre ce qu'elle a dans le ventre. Que vous soyez fan de la série Castlevania ou pas, voilà un jeu qu'il faut absolument essayer !
AU TOP DU TOP !
PXL Attention, chef-d’œuvre du style MetroidVania ! Bien sûr, ce jeu n'est pas exempt de quelques menus défauts comme sa facilité exacerbée, sa traduction moisie et son scénario qui tient sur un timbre-poste. Mais Ouah ! L'univers de Castlevania est encore plus développé, le côté MetroidVania en fait enfin le digne successeur de Symphony of the Night, tout ça est valorisé par le design des personnages et l'inspiration musicale. Dommage que le proc sonore de la GBA soit étouffé car les musiques sont vraiment dignes de la série. J'en ai d'ailleurs encore les mélodies dans la tête au moment où je rédige ces lignes. L'évolution de son personnage se fait dans les règles, avec apprentissage de nouveaux pouvoirs, découvertes de nouvelles armes, et exploration du château. Le plus de cet épisode, ce sont les multiples fins différentes : à l'instar de Symphony of the Night, il va falloir trouver plusieurs indices qui vont permettre de débloquer la "vraie" fin du jeu. Concernant le gameplay, le système des âmes façon "matéria de FF7" est simple et intuitif, et plus on augmente en level, plus l'exploration devient un plaisir entre glissade, transformation en chauve-souris et one-shot de monstres.
OUI !
Iglou J'ai toujours eu du mal avec la formule Metroidvania de la série Castlevania - qu'on appelle aussi les IGAvania en référence à son ancien producteur Koji Igarashi - mais malgré mes craintes j'ai décidé de me plonger dans Aria of Sorrow. Souvent considéré comme un des meilleurs de la série, force est d'avouer que c'est un épisode très bien maîtrisé, avec un système de jeu à base d'âmes de monstres à récupérer, permettant au héros d'avoir diverses capacités actives ou passives. Cela va nous pousser à récupérer le plus d'âmes possible, et nous inciter à farmer les mobs. A côté de ça, c'est un jeu sans surprise, une autoroute où personne ne vous dérangera, sans aspérité, et ça pourrait sans doute être considéré pour beaucoup comme un avantage. De mon côté je reste sur ma faim, avec l'impression d'avoir joué à un rendez-vous manqué, comme le fait que le jeu se déroule au Japon mais rien n'est utilisé avec ce cadre, ou bien les derniers pouvoirs de déplacement qui magnifient le gameplay mais qu'on obtient lorsqu'il ne reste quasiment plus rien à faire. Malgré tous ses défauts à mes yeux, il reste une valeur sûre du genre, mais peut-être trop propre sur lui pour réussir à me marquer.
CASTLEVANIAIS...
MadMax Troisième volet de la série sur Game Boy Advance, Aria of Sorrow fait suite au décevant Harmony of Dissonance. Alors que le premier opus, intitulé Circle of the Moon, fut un véritable coup de maître, on nous ressert ici un "Igavania" insipide à souhait, malgré, évidemment, quelques qualités comme ses graphismes fins et colorés. Musicalement, le jeu demeure assez décevant par rapport à ce qu'on a pu entendre dans cette série pourtant réputée pour sa qualité dans ce domaine. C'est mieux échantillonné que dans le précédent épisode - le contraire eut été étonnant, tant on atteignait les profondeurs de la purge sonore - mais les thèmes sont mièvres et oubliables. Un peu comme le jeu, d'ailleurs, facile et sans surprise. Encore un sous Symphony of the Night, avec en prime un scénario niais et un héros aussi charismatique qu'un chanteur de boys' band emo. Faut aimer, quoi... Une fois terminé, difficile de revenir sur un tel jeu, à mon avis. De mon côté, je retourne sur Circle of the Moon, voire Rondo of Blood !
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