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Blondex
UNE VALEUR SURE !
Si je préfère les Castlevania traditionnels aux "metroidvania", cela ne m’empêche pas d’apprécier la seconde catégorie, que Dawn of Sorrow représente à merveille. Suite directe de l’excellent Aria of Sorrow sorti sur GBA, ce nouveau volet situe l’histoire 1 an après. Le héros, Soma, avait alors découvert qu’il était l’incarnation de Dracula, mais il avait vaincu le Mal en lui. Cette fois, il repart dans un château combattre une secte cherchant à créer un nouveau seigneur des Ténèbres. Bon… Le plus important reste le jeu, qui exploite parfaitement les capacités de la DS. Les fonctions tactiles sont peu nombreuses, mais l’écran du dessus affiche la carte du château ou des informations sur le héros et les ennemis, un détail qui améliore considérablement le confort de jeu. Dawn of Sorrow possède également des graphismes et des musiques impeccables. Alors, on pourra toujours chipoter sur la facilité du jeu, les similitudes avec Aria of Sorrow, et aussi le manque de surprises, Dawn of Sorrow est une aventure plutôt longue (avec en bonus un mode où vous incarnez le trio Belmont / Belnades / Alucard), et une valeur sûre de la DS, que vous pouvez acheter en toute confiance.
PXL
UNE BONNE ENTREE EN MATIERE
Castlevania DS (Dawn of Sorrow) est la suite directe de Castlevania Aria of Sorrow, et encore une fois, Konami nous sert toute la puissance du style MetroidVania au creux de sa main. L'avantage de cet épisode est bien sûr le fait de disposer d'un deuxième écran qui nous permet, en permanence, d'avoir un œil sur nos statistiques, notre équipement et la Carte du château. Château immense qui plus est. On a toujours le droit au système d'âmes qui était déjà simple et efficace dans AoS sur GBA. La petite nouveauté résidant dans le finish d'un boss. Pour chaque, il va falloir, à l'aide du stylet, effectuer un dessin ésotérique permettant sa destruction ultime. Si vous ratez ou mettez trop de temps, il faudra continuer à asmater le boss à coups d'épées, de fouets ou de marteaux en tous genres. Les musiques sont toujours au top de la série. Les graphismes sont encore plus beaux et détaillés, le bémol étant le design des persos. En lieu et place du designer de Symphony of the Night, on se retrouve avec un designer qui nous pond du générique de chez générique. Ça dénote, ce design "pourri", même si on ne s'attardera au final que sur le plaisir absolu proposé par le gameplay.
Suite directe d'Aria of Sorrow vous mettant de nouveau dans la peau du jeune Soma Cruz, qui va devoir partir occire les démons des ténèbres afin d’éviter la résurrection de Dracula. Premier épisode sur la DS, le jeu est vraiment joli et fin, le tout accompagné pas les magnifiques partitions de Masahiko Kimura et Michiru Yamane, mais c’est aussi l’occasion pour le deuxième écran d’afficher la map, ce qui est une vraie bénédiction pour un jeu du genre metroidvania. On peut également switcher sur le tableau des statistiques de Soma pour connaitre ses stats ainsi que son build, car tout comme Aria of Sorrow, c’est en tuant des mobs que nous allons récupérer leurs capacités. Cette suite nous permet d’ailleurs d’équiper différents builds, que l'on peut changer à la volée d’un changement de touche ; un outil plus que bienvenu. Dawn of Sorrow est un jeu parfaitement rythmé, et un des meilleurs Castlevania dans le genre « Igavania » malgré quelques petits loupés (comme les glyphes à tracer plus frustrants qu’autre chose, ou des taux de drops parfois trop rares), mais rien qui n’entache cet excellent épisode.