ECCO THE DOLPHIN
Suggestions
OUI !
Wizzy Qui n'a jamais rêvé de nager au coté des dauphins ? Ecco vous permet d'en incarner un ! Avec Ecco, la Megadrive a été transcendée. On reste bouche bée devant la beauté de ce jeu. Les fonds marins, la musique, le jeu des couleurs, tout vous plonge dans cette aventure à travers les âges et les océans. Le dauphin est magnifiquement animé. Il n'y a qu'à le voir accélérer et virevolter dans les airs avant de replonger dans l'eau pour s'en persuader. Attention toutefois, passé la paisible introduction et l'émerveillement des premiers instants, Ecco se révèle être un jeu difficile, très difficile. Outre des bestioles marines à affronter (requins, pieuvres géantes...), le jeu demande de gérer deux jauges, une jauge classique d'énergie et une autre d'oxygène à laquelle il faudra faire très attention. Car sous l'eau, l'air se raréfie et Ecco en bon mammifère marin ne respire que de l'air. Cette trouvaille rend le jeu oppressant, littéralement étouffant surtout lorsqu'on se retrouve enfermé dans des cavernes où sont disséminées de rares poches d'air. Cette pression ne vous lâchera que rarement tout au long de ces 25 niveaux. Une longue, difficile et incroyable odyssée sous les mers.
OUI !
Kim Avec son originalité inattendue, son dépaysement et sa sortie exclusive sur les consoles de Sega (ici la Megadrive), je ne peux qu'être sous le charme ! Comme on le constate et comme l'a si brillamment dit Wizzy, ce jeu est une torture de difficulté. Mais le pouvoir de certains jeux est qu'ils vous amènent de leurs filets pour persévérer et espérer aller jusqu'au bout. Et Ecco The Dolphin fait partie de cette trempe. Mais que dire devant tant de beauté et tant de précision dans l'évolution de l'aventure !? Une sorte de voyage onirique mêlé à un certain réalisme dans le monde de l'eau et des dauphins : cette fameuse jauge d'air. Aux premiers tâtonnements, on est ébahi dans la découverte de ce monde sous-marin ! Le choix de piloter ce(s) adorable(s) dauphin(s) s'avère des plus judicieux pour nous immerger dans cet univers merveilleux. Mais comme dit avant, Ecco a un secret, une beauté cachée peut-être, en tout cas un long périple qui vous attend ! Avec sa fluidité et son éventail d'action intéressant qui sort du lot, il est un jeu parfait pour celui qui aime le changement et les réalisations hors du commun. Un must !
UNE MERVEILLE
Mérode Bien avant Okami ou Ico il existait déjà des jeux fous et magiques issus de songes d'hommes pour qui le jeu vidéo est plus qu'un média de divertissement, mais le moyen d'illustrer et de vivre une véritable quête initiatique touchée par la mystique. Ecco the Dolphin est de cette trempe, et le voyage que son créateur Ed Annunziata nous offre en 1992 est une aventure magique, unique et inoubliable. Teinté de néo évhémérisme, de psychédélique et de new age (à l'image de sa musique rappelant les sonorités de Tangerine Dream et de son album Hyberborea ou des Floyd), le jeu nous fait incarner un dauphin qui, à la suite d'une tempête magnétique, voit tous les siens disparaître. Ainsi, une épopée à travers les abysses, le temps et l'espace s'ouvre sur plus d'une vingtaine de niveaux merveilleusement réalisés, emplis de couleurs et de créatures marines. Grâce au sonar d'Ecco, vous ferez résonner des cristaux incarnant la mémoire et interagirez avec différentes espèces marines. Fluide et précis, le jeu est assez difficile, car il demande de l’exigence et du temps pour apprendre à mémoriser les routes à emprunter et comprendre les interactions à effectuer. Car oui, l'excellence se mérite.
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