FINAL FANTASY IX
Suggestions
OUI !
Destructor L'ambiance de Final Fantasy IX rappelle celle du VIe épisode, et ce n'est pas pour nous déplaire ! Les personnages sont très charismatiques, et le scénario intéressant. Ces deux ingrédients représentant en majeur partie la motivation du joueur à continuer l' aventure, la durée de vie énorme constitue donc un confort supplémentaire à ce titre. Les cinématiques en images de synthèse sont, comme d'habitude à l'arrivée d'un nouvel épisode de Final Fantasy, les plus belles qu' il m' ait été donné de voir à l'époque… Le système de combat est revenu à la méthode classique avec les MP comme capacité à jeter des sorts, et ça c'est une bonne nouvelle ! Cet épisode clôt superbement la série sur la 32-Bits de Sony, la réalisation atteint un niveau de perfection à peine croyable ! Tout est superbe, rien à dire : chapeau bas, messieurs de chez Squaresoft !
OUI !
Clad Ce Final Fantasy est selon moi le meilleur après, bien sûr... Final Fantasy VII ! Pourquoi ? Parce qu'il est dans la lignée du VII : des petits personnages attachants et le système de combat toujours parfait, avec les MP utiles pour les sorts de magie. L'histoire se déroule au Moyen-Age. Eh oui, Square revient dans le bon vieux Final Fantasy ! Grâce à son armement magique extrêmement puissant, la reine Branet d'Alexandrie terrorise les royaumes voisins. Sa fille, la princesse Grenat, décide de s'enfuir du château et devient l'amie d'un groupe de bandits aux grands cœurs. Leur leader décide de mettre un terme à la terreur. Il ne faut hélas que peu de temps à notre groupe d'aventuriers pour découvrir que les menaces de la reine cachent en réalité un complot bien plus sinistre. Le salut de l'humanité étant en jeu, Djidane et ses amis doivent agir avant que la reine et ses alliés exécutent leur plan diabolique. Bref, histoire intrigante, musiques et décors incroyables... Un des meilleurs RPG !
OUI !
Onishisima Comment partir d'une petite troupe d'artistes brigands appelés Tantalas pour finalement arriver à une fin machiavélique et emplie de terreur? Telle est la trame de Final Fantasy IX, à qui l'on ne pourra pas reprocher de ne pas aller au bout des choses. Dernier opus sur PSX, FF IX paraît au premier abord gentillet, avec son univers moyenâgeux, ses personnages à l'allure d'enfants, ses petites musiques fort sympathiques. Mais il en est tout autre. La Reine Branet entame une guerre terrible et use d'invocations destructrices (Odin, Bahamut, Atoms) pour rayer des villages entiers de la carte. Mais ceci n'est que le préambule d'un scénario alambiqué, et accrocheur. Dans ce FF, les invocations de cheimères ne peuvent être réalisées que par Grenat et Eiko. De plus, celles-ci sont bien moins logues que lors des précédents FF (mis à part pour Arkh...). La durée de vie est tout bonnement gigantesque, avec des quêtes annexes fort intéressantes (allez, creuse chocobo!). On note l'apparition d'Active Time Event, de périodes de transe pendant les combats, et d'une utilisation des chocobos très importante. Long, passionant et une nouvelle fois sublime, FF IX clôt parfaitement la série FF sur PS!
OUI !
Romain Après quelques épisodes se déroulant dans des univers un peu plus réalistes, Final Fantasy IX fait un petit retour aux sources en nous plongeant dans un univers un peu plus Heroïc Fantasy. Bien que la plupart du temps on contrôle Djidane, le personnage principal, il peut arriver qu'à certains moments de l'aventure, on contrôle un autre personnage du groupe. A l'histoire principale, vient s'ajouter tout un tas de quête secondaires et de mini-jeux, ce qui vous demandera donc pas mal d'heures de jeu si vous souhaitez le terminer à 100%. Final Fantasy IX est aussi un jeu très beau : les différents décors sont bien détaillés ; quant aux scènes cinématiques, elles sont tout simplement magnifiques. Et puis la bande-son est, comme pour la plupart des autres Final Fantasy, très réussie. Voilà donc un neuvième épisode vraiment excellent, auquel il serait dommage de ne pas jouer !
OUI !
Wave Après deux épisodes des plus réussis, Final Fantasy revient pour une ultime aventure sur Playstation. Au passage, celui-ci renoue avec l'esprit 16-bits en réintégrant Amano au character design ainsi qu'un univers médiéval d'une grande poésie. On ne s'en plaindra pas, les clins d'oeil au sixième opus sont multiples et les points communs entre leur gameplay respectifs très nombreux. De plus, les critères de la série auquels nous sommes habitués sont au rendez-vous et nous proposent des personnages travaillés, un scénario en béton, des thèmes sonores à se damner et une plastique réellement impressionnante. Pourtant, si nous sommes forcés de nous incliner devant cette véritable prouesse technique, la plus belle sur ce support, c'est bel et bien la magie de notre enfance qui accrochera le plus au cours de cette épopée extraordinaire. Et lorsque bijou technologique rime avec passion, le résultat se veut d'une excellence rare. Un indispensable, évidement signé Squaresoft.
LE FF PARFAIT ?
Twinsen Threepwood Dernier volet de la trilogie Playstation qui marque le firmament de la série, Final Fantasy IX est également le testament de son créateur, Hironobu Sakaguchi, qui sera débarqué quelques mois plus tard après l'abyssal échec du film The Spirit Within. Conçu par une équipe américano-japonaise à Honolulu, ce Final Fantasy est l'épisode de la consécration, celui qui tire le meilleur des 8 précédents épisodes pour n'en tirer que la sève. Reprenant la thématique de Gaïa et du Lifestream initiée par FFVII, ce nouveau volet nous replace dans un univers de vraie fantaisie médiévale, que les fans réclamaient à cor et à cris après un 7e et un 8e volet un peu décriés au Japon. Retour d'anciens de la team, dont Amano, le mythique designer de la série et exit Nomura, déjà occupé sur le X. Les graphismes sont plus beaux que jamais, l'intrigue merveilleusement bien construite, le système de combat presque parfait. Certains persos, sous des airs enfantins (Steiner et Bibi surtout) traitent des thématiques les plus sombres jamais abordées par la saga (la mort, le sens de l'existence, le suicide...). La musique est à tomber, et Kuja est un splendide antagoniste. Le FF absolu ? Peut-être oui...
OUI !
nekomiou Mon FF préféré, que j'ai fait 9 fois ! Que dire ? A l'époque de sa sortie, c'est une grosse claque visuelle, avec des cinématiques démentes et des décors à couper le souffle ! Niveau histoire, sous des aspects très enfantin et sympathique, FFIX se révèle terriblement noir et pessimiste. Là où au départ, on a l'impression que chaque personnage est un stéréotype, on réalise qu'ils ont tous une véritable profondeur appuyée par un fantastique sens de l'écriture. Le système de combat reste dans du classique FF : on ne cherche pas l'originalité mais l'efficacité. Les invocations sont justes incroyables. Les musiques d'Uematsu sont comme d'habitude magnifiques. Kuja, l'antagoniste de cet opus, est un véritable psychopathe sans une once de compassion. Un personnage (comme tous les autres d'ailleurs) vraiment intéressant. Final Fantasy IX est à mon sens l'épisode ultime de la saga. Y jouer est impératif !
OUI !
Julius Final Fantasy IX opère un retour aux sources de la saga en se déroulant dans un univers médiéval. Et je dois reconnaitre qu'il cache bien son jeu, parce que sous couvert d'un scénario reflétant l'insouciance à première vue, il recèle en fait une noirceur et un pessimisme que nous avions rarement vus dans la saga. Et plus on avance, plus les vrais enjeux se dévoilent. FF IX propose un système de jeu solide, où chaque personnage dispose d'une compétence propre : ainsi, Djidane ne pourra en aucun devenir mage blanc par exemple, mais tous pourront apprendre des compétences via les équipements, qui peuvent s'avérer essentiels pour bien progresser dans le jeu. La réalisation fait partie des plus belles que la PS1 ait connue : le jeu est magnifique, dispose de superbes scènes en images de synthèse, et Nobuo Uematsu a retrouvé de l'inspiration au niveau des musiques. L'aventure tient sur 4 CD bien remplis, avec une quête principale qui se fait en 40 heures en ligne droite, mais propose bien plus plus avec des quêtes annexes, notamment les chocographes, qui prendront beaucoup de temps. Final Fantasy IX m'a enchanté, c'est un beau chant du cygne de la PS1.
PAS LE PLUS INTERESSANT !
PXL Final Fantasy IX, le dernier épisode du maître Hironobu Sakaguchi et celui qui, pour lui, est la quintessence de sa vision d'un Final Fantasy. Dernier épisode en date sur PS1, FF9 revient aux amours Heroic Fantasy voire Steampunk avec ses bateaux volants à vapeur entre autres. Nous suivons les mésaventures de Djidane et de sa clique de personnages tous plus différents les uns des autres. C'est un vrai carnaval des horreurs. Heureusement, chaque personnage est convenablement travaillé dans son récit et son caractère, hormis Kweena et Tarask qui n'ont rien à raconter. Le jeu dispose d'un système de combat classico-chiant avec son système de Transe incontrôlable. Les compétences apprises au travers de l'équipement vous obligeant à en cumuler des centaines de pièces : l'inventaire devient un foutoir. D'autre part, les chimères qui ont l'air importantes dans le récit sont pourtant reléguées au second plan du gameplay, devenant complètement inutiles. Reste une histoire riche d'aventures mais encore une fois entachée par une fin à la Tales Of, c'est à dire WTF. L'OST n'est pas mauvaise loin de là, mais est assez inégale. Pour moi, si j'aime les FF, le 9 est 16ème dans mon classement.
OUI, MAIS...
Xhander J'ai un rapport un peu étrange avec ce FF. Il est très bon, son monde est beau, j'aime le système de combat, mais non, je n'arrive pas à le voir comme un excellent épisode. D'abord, je n'aime pas beaucoup ses personnages. Djidane me saoule, Garnet (oui, pas Grenat, c'est moche) passe la moitié du jeu à pleurnicher (j'exagère mais vous avez compris), Steiner qui protège Garnet à l'excès, Tarask pas intéressant, Kuja un antagoniste qui n'a pas grand chose à raconter et le summum, Darkness. Il arrive comme un cheveu sur la soupe sans qu'il ait été évoqué au préalable. Seul Vivi (oui, pas Bibi, c'est moche bis) et Beatrix (oui, pas Beate, c'est moche ter) sont intéressants. Kweena est particulière, c'est le perso rigolo à l'instar de Cait Sith. Quant à l'histoire, pour être honnête, je n'en ai rien retenu. Cela démontre que ça ne m'a pas touché du tout. Techniquement, c'est magnifique mais le format SD, j'ai vraiment du mal. Quand je revois Steiner ou Garnet, c'est vraiment bizarre. Les invocations toujours sublimes mais qui s'utilisent comme de la magie alors qu'ils ont une importance dans le scénario, choix étrange. L'OST est bonne (le thème de combat est top) mais on a connu mieux.
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