GOD OF WAR  
Suggestions
OUI !
Kakulakian Avec God of War, c’est la suprématie de Capcom en matière de jeux d’action stylisé qui vacille car force est de constater que le dernier né des studios Sony America à tout pour vous faire oublier les séries Devil May Cry et Onimusha. Ayant pour théâtre la Gréce Antique et les luttes intestines entre les Dieux de l’Olympe, God of War vous met dans la peau de Kratos, un guerrier redoutable charger par Athéna d’éliminer Ares, le Dieu de la Guerre. Reposant sur un scénario puisant sa source dans la Mythologie grecque, God of War dévoile sa trame lentement par le biais de flashback qui, au-delà de l’aspect purement vidéoludique, véhiculent des messages forts quant aux tourments de l’âme (sic). Graphiquement fabuleux, servi par une bande son envoûtante et doté d’une animation irréprochable, God of War se pare également d’un gameplay très riche empruntant aux ténors du genre ce qui a fait leur renommée. Ainsi, qu’il s’agisse de phases de plateforme ou de combats frénétiques, il se dégage des mouvements de Kratos une aisance sans pareille. Impressionnant à tout point de vue et offrant des morceaux de bravoure dont vous vous souviendrez longtemps, God of War est un jeu... béni des Dieux.
OUI !
Onishisima Il y avait Dante, il y a maintenant Kratos! Plus bourrin, plus puissant, plus sadique, il est l'anti-héros parfait! Le soft de Sony propose un gameplay du tonerre, une palette de coups riche et variée, qui s'étend au fur et à mesure de la découverte de nouvelles armes, et qui est combinée à l'utilisation de magies acquises directement des Dieux. Niveau réalisation, c'est la claque! La PS2 crache littéralement ses tripes. Kratos est superbement modélisé, son animation est parfaite, ainsi que celle des ennemis, les environnements sont superbes, altrnant déserts, milieux aquatiques, palais, villes antiques et autres temples. Durant les combats, des actions contextuelles fort barbares sont permises étoffant un peu plus encore la gameplay. Kratos se bat, mais Kratos grimpe également, sur les pans de montagne, il fait le funambule sur des planches au-dessus du vide, il nage...bref, il fait tellement de choses que je ne saurai tout énumérer! Violent, God of War conte la destinée tragique d'un héros désormais culte, et impose le soft de Sony en tant que référence du jeu d'action!
OUI, MAIS...
Twinsen Threepwood En plein âge d'or de la PS2, le très occidental studio de Santa Monica, gonflé à coup de grosses pépètes offertes par Sony himself, s'attaque à un genre dominé depuis toujours par les japonais : le beat'em all. Genre nippon par excellence, personne n'aurait imaginé un jour que des Américains puissent égaler, voire dépasser les productions Capcom. Pour beaucoup, God of War est directement devenu le plus grand beat'em all de tous les temps. J'ai envie de dire "faut pas pousser". Oui, le jeu est plutôt bon, voire très bon. Oui, la réalisation est excellente, la jouabilité nerveuse à souhait, l'ambiance ultra travaillée, les musiques fantastiques et la montée en puissance grisante. Néanmoins, malgré d'évidentes qualités, le jeu souffre encore de quelques syndromes de jeunesse : héros (vraiment) stupide, level design parfois un peu trop alambiqué, quelques (rares) problèmes de rythme et un antagoniste au charisme d'un beignet. Attention, ces éléments sont au compte gouttes : globalement GoW est une très solide expérience, un très bon jeu,mais pas la palucherie que certains nous vendent à tort et à travers. Un bon premier essai cependant, qui donnera le meilleur pour la suite.
NON !
Mérode A l'époque de la PS2, le beat em all 3D est un genre qui a le vent en poupe après l'arrivée fracassante en 2001 du Devil May Cry de H. Kamiya. Du coup, le temps de s'en remettre, Santa Monica embraye le pas et débarque God of War en 2005 en exclu PS2 à la commande de Sony. Affublé d'un personnage incapable de s'exprimer autrement qu'en hurlant, d'une introduction enchaînant les gros plans d’éviscération, et d'une simulation de coucherie en QTE avec des prostitués déposées là, aucun doute possible God of War est un jeu d'un rare mauvais gout. Il nous déroule une bête histoire de vengeance sauce Gladiator version "Tu te couches comme Maï li" (dialogue du film Kickboxer-1989) entrelacée d'un lore mythologique vidé de toute substance. On enchaîne donc pendant 10h des boss et des monstres dans une Grèce antique hystérique. Le gameplay certes fonctionnel manque de panache et de finesse. Quelques énigmes viendront se greffer à la progression afin de donner l'illusion qu'il faut aussi réfléchir dans God of War. La réalisation est correcte, et la diversité des armes parvient à créer une certaine diversité de jeu. Mais bon...
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