Olija avait tout pour me plaire : un univers intriguant de piraterie à l'époque des samouraïs , un gameplay instinctif à coups de harpon magique dans les gencives, et un pixel art minimaliste et élégant pour ce qui est des décors. En bon action platformer, le jeu évolue, surprend et donne le sentiment que tout est aisé. Mais -un grand mais-, je ne me suis jamais senti impliqué. Ni par l'histoire d'amour, cliché, entre un étranger en terre lointaine et une princesse fuyante, ni par ces phases de jeu, qui en voulant éviter la redite, s'enchaînent de manière variée mais restent à la surface des choses. Je trouve qu'Olija manque de profondeur et sa durée de vie, qui n'excède pas les 5 heures de jeu, n'améliore pas cette sensation. Il y a bien quelques collectibles à trouver mais la sauvegarde s'efface une fois le boss final vaincu. Et ce sans prévenir. Donc mitigé, je suis...