ROCKET KNIGHT ADVENTURES
Suggestions
OUI !
Kim Annoncé comme le nouveau héros des consoles, Rocket Knight (ou Sparkster comme vous voulez), arrive sur la bête noire de Sega. Et le petit animal a déjà tout d'un grand, il a du style et le monde qu'il nous fait partager a tout d'attrayant ! Ses possibilités d'attaques ne sont pas énormes, mais qu'importe, notre nouvel ami sait se faire pardonner, en volant ou en utilisant son réacteur, le sortant de situations délicates. Par ailleurs, certaines séquences de vol pur (eh oui !), sont à marquer dans les scènes d'anthologie du jeu vidéo ! La présence d'ennemis tout aussi dangereux que farfelus, et la bonne durée de vie, offre également un bon point pour Rocket Knight Adventures, pour son approche mi-humoristique, mi-enfantine. Pour le reste, le jeu a tous les traits d'un Sonic ou d'un Mario ! En somme, une bonne animation, une prise en main simple à la portée de tous et son monde bien à lui. Petit plus pour la profondeur des graphismes, certains fonds de décors en dégradé de couleur sont vraiment réjouissants à regarder ! Vous l'aurez compris, Rocket Knight Adventures fait partie des jeux à posséder sur Megadrive.
WAHOU !!
Wizzy Avec Rocket Knight Adventures, Konami a décidé de mettre le paquet sur Megadrive et d'imposer son opposum comme la nouvelle mascotte du genre. Le style du jeu est clinquant et mélange avec bonheur le dessin cartoon, avec plein de mimiques désopilantes, et un background médiéval-futuriste peuplé de chevaliers et de machines à vapeur. La musique tour à tour épique, jazzy ou rock souligne d'ailleurs à merveille l'aventure sans temps mort de notre petit marsupial. Les niveaux variés et plutôt courts s'enchaînent avec maestria et à un rythme fou. Pour un moment calme, il y a un château en feu, du shoot dans les airs, des méchas qui vous piétinent, un grand huit mortel à 100 à l'heure... Cerise sur le gâteau, la jouabilité est un modèle du genre. Notre marsupial a la possibilité, outre de s'accrocher partout avec sa queue, de faire la fusée explosive pendant un court instant. Sparkster peut ainsi rebondir sur les murs, dégommer du vil cochon, fuir un mur de flammes, atteindre des plate-formes inaccessibles...dans un embrasement général !
OUI !
Julius Je dois vous avouer que j'ai eu du mal à entrer dans le délire de Rocket Knight Adventures. Je le trouvais assez dur. Mais je suis content d'avoir persévéré et je comprends pourquoi ce jeu, qui vaut maintenant fort cher (comme tous les jeux Konami sur Megadrive) est considéré comme un des meilleurs jeux d'action de la console de Sega. Konami n'a pas lésiné sur les moyens et cette exclusivité foisonne d'idées. C'est bien simple, ça n'arrête pas de la première à la dernière seconde de jeu ! De l'action non-stop passant d'un jeu 2D classique à une phase de boss au sein même des niveaux ou des phases de shoot'em up, il y a de quoi être sur les fesses. L'ajout du jetpack permet de nouvelles possibilités de jouabilité. Un jeu très malin, long, et superbement réalisé, avec de jolis graphismes, des effets de transparence, une animation fluide en toutes circonstances, sans compter certaines absolument hilarantes, et de superbes musiques. Bon courage si vous voulez voir la "vraie" fin, car vous devrez terminer le jeu en mode difficile. Ce qui n'est pas une mince affaire. Un grand jeu pour du grand Konami, qui n'a pas oublié ce que le mot "action" voulait dire.
OUI !
Blondex Lorsque Konami a pu se libérer de son contrat d’exclusivité avec Nintendo et développer un jeu pour Megadrive, c’était pour offrir à cette console une exclusivité toute neuve : un opossum muni d’un jetpack qui débarque à la vitesse de l’éclair ! En arrivant chez Sega, Konami propose avec Rocket Knight Adventures un jeu typé arcade, nerveux et rapide. Son héros Sparkster fonce ainsi à vive allure et alterne entre niveaux d’action et de shoot them up. Impossible de s’ennuyer tant chaque niveau est un nouveau défi à relever ! Qui dit jeu typé arcade, dit aussi « die & retry », et de ce côté-là, Rocket Knight est plutôt impitoyable tant perdre des vies peut aller très vite, notamment certaines séquences de pur timing qui ne pardonne aucune erreur ; sans compter des boss assez difficiles qui s’enchaînent tout du long, jusqu’à un final qui ne vous laissera jamais respirer. La maniabilité de l’opossum doit aussi être domptée : les jetpacks dans les jeux vidéo, c’est toujours à double tranchant ! Ce jeu peut donc être intimidant derrière ses graphismes fins et colorés ainsi que ses jolis effets, mais le défi proposé est vraiment motivant et donne toujours envie de persévérer.
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