7990 jeux // 9377 avis // 7264 screenshots // 1800 musiques // 53 dossiers
The Wind Waker (TWW) utilise le célèbre "Cel Shading" : on a l'impression d'être dans un dessin animé. Au premier coup d’œil, on se dit "Ouais, bof, pas top Link comme ça" (enfin j'ai eu cette pensée moi). Et on l'oublie vite, ce graphisme : c'est Zelda quand même ! En tout cas, le jeu est beau et fluide, c'est génial. Link se contrôle à la perfection, la caméra est dirigeable via le stick C et la prise en main est directe : aucun problème. L'univers Zelda est là, c'est original, on est pris dans l'histoire. La durée de vie est plus que correcte, et comme le veut la coutume, rallongée par des mini-quêtes qui le rendent très très long ! L'histoire est vraiment prenante et les clins d’œil, retournements de situation et autres surprises sont au rendez-vous : on accroche rapidement sans se lasser. Quoiqu'il en soit, ce Zelda est une réussite, même s'il paraît surprenant. Miyamoto power !
Comme pas mal de gamers, quand j'ai vu arrivé Zelda - The Wind Waker avec des graphismes en "cel shading", une grosse déception m'a envahi... mais depuis j'ai fait mon mea culpa ! Le point litigieux est donc la réalisation. De prime abord, on se dit que le "cel shading" donne un côté pas sérieux au jeu, mais au bout de quelques minutes on commence à être émerveillé, et ce sentiment ne cesse de croître tout au long de l'aventure : les graphismes et les cinématiques sont d'une immense qualité ! Quant au gameplay, lui ne souffre d'aucun problème, c'est du bonheur à l'état pur. Idem pour l'évolution du perso et de son équipement. La durée de vie est gigantesque : l'histoire est très prenante et les quêtes annexes innombrables ! Prenez-vous une année sabbatique... CONCLUSION : Encore un Zelda qui restera dans les annales. C'est toujours un immense bonheur de se plonger dans le monde de Link ! Un incontournable (voire L'incontournable) de la Gamecube.
Zelda - The Wind Waker, le premier Zelda sur Game Cube, a fait peur à beaucoup de monde avec son nouveau style graphique en "cell-shading", mais dès que l'on commence à jouer, on retrouve notre Link bien-aimé, et l'on se laisse aisément transporter par cette nouvelle et belle histoire. Link est très maniable, le monde est grand et les quêtes annexes énormes (allez donc essayer de compléter la collection de figurines en photographiant tous les personnages et monstres du jeu).
Autre point positif : si l'on a malencontreusement vendu sa belle et regrettée N64, on retrouve avec plaisir Ocarina of Time et une version améliorée pour les masters of Zelda dans l'édition Collector !
Trés controversé lors de son développement, une démonstration de maître Myamoto suffit à démontrer toute la pertinence de ses choix quant à ce premier Zelda sur Gamecube. Véritable dessin animé interactif, The Wind Waker est un enchantement pour les yeux, un délice pour les oreilles, en un mot une merveille esthétique doté d'un gameplay intuitif comme seul Myamoto peut en créer. Point de départ de cette aventure palpitante, l’apparition dans le ciel d’un oiseau géant tenant dans ses serres une jeune fille… Dés lors votre destin va brusquement s’accélérer et vous conduire au quatre coin des océans, car la principale nouveauté de cet épisode réside dans les déplacements que vous serez amené à réalisé tout au cours du jeu, aidé en cela par Dragon rouge, le seul bateau doté, à ce jour, de la parole. Autre nouveauté intéressante, les expressions de Link qui bien souvent, vous donne des indications sur ce qu’il faut faire. Incontournable du petit cube violet, The Wind Waker est un jeu magnifique, mais à qui il manque, selon moi, ce petit je ne sais quoi, qui a fait entrer Ocarina of Time au panthéon des jeux vidéos.
Blondex
DE TERRIBLES LONGUEURS
A la vue des premières images de ce Zelda, j'avais crié au scandale. Horrifié que j'étais par un style graphique que je jugeais hideux, j'étais prêt au boycott ! Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, comme on dit, alors j'ai fini par céder, et j'ai été agréablement surpris finalement. L'introduction, les premières minutes de jeu, la musique... Impossible de résister ! Même si je n'ai pas été sensible à l'aspect dessin animé, je dois reconnaitre que le choix artistique est audacieux et que le style graphique... est finalement réussi, tout comme le scénario très surprenant ! Alors, oui, la magie Zelda est là, et c'est un jeu incontournable sur GameCube, mais après avoir terminé le jeu et traversé cette gigantesque mer, je maintiens que c'est le Zelda que j'aime le moins. L'aventure ne m'a en effet paru pas bien exaltante : peu de donjons - et pas marquants qui plus est, une relative facilité, de terribles longueurs (les promenades en mer tournent à la corvée), et finalement peu de surprises. Wind Waker est surtout une réussite artistique, mais reste un grand jeu quand même ; c'est vous dire la qualité de la série Zelda !
Réglons tout d'abord ce problème de graphisme (sans précédent pour un Zelda)... Le choix graphique divise, pourtant, je ne peux m'empêcher de penser que c'est bien mieux ainsi ! Zelda 3 avait déjà ce ton très "toonesque" avec un petit Link coloré très DA... Donc, même si il ne plaît pas à tout le monde, le graphisme est réussi. D'ailleurs le jeu entier est (presque) une réussite ! L'ambiance est particulière : ça ressemble un peu à un Disney ! C'est beau, magique, mignon. Toutes les bonnes idées des Zeldas d'antan ont été gardées pour cet épisode ! Ce Zelda est un des plus court. Pourtant, le finir à 100% relève du défi ! Ce jeu a tout pour lui et pourtant... Vous devrez voyagez d'îles en îles en embarquant dans votre barque (qui est aussi votre compagnon) et là, c'est l'ennui ferme ! Naviguer, c'est rigolo deux minutes, mais répété trop de fois cela devient vite agaçant ! Surtout que certains trajets demandent plusieurs minutes, ce qui casse le rythme du jeu. Il y a certes des raccourcis mais bon... Cela fait de ce Wind Waker un épisode bien particulier de part son ambiance... On accroche ou non. Pour ma part, je n'ai pu le finir, faute à la "lenteur" de l'aventure. Mitigé donc...
Le pari était osé : changer l’esthétique du jeu ainsi que son univers. En effet, contrairement aux autres Zelda, ici vous ne vous baladerez pas dans le bon vieux royaume d’Hyrule mais dans un immense océan parsemé d’îles. Résultat : l’impression d’innovation est grande. Pour une fois, on n’a pas le sentiment de connaître ce qui va arriver. Le design plait ou pas, personnellement je ne suis pas fan, mais soit. Au niveau du déroulement du jeu, je suis également mitigé : l’exploration est souvent longue et ennuyeuse, très étonnant pour un Zelda ! Passé ces deux surprises, le jeu est quand même très bon, avec tous les atouts dont la série nous a habitué : donjons (pas très grands cependant), quête des quarts de cœur, plaisir de dénicher les trésors (on ne les comptera pas !) etc.
The Legend of Zelda - The Wind Waker est le premier Zelda auquel j'ai eu l'occasion de jouer. Du coup, le style graphique en cell-shading utilisé pour cet épisode ne m'a pas vraiment surpris. On contrôle donc Link, qui aura l'occasion de voyager d'île en île grâce à son bateau du nom de Lion Rouge. Grâce à ce bateau, il aura d'ailleurs la possibilité de trouver des trésors qui sont cachés sous la mer. Link est aussi très doué au maniement de l'épée, mais il pourra utiliser d'autres armes comme un boomerang, qui est capable de toucher plusieurs cibles en un seul lancé. Techniquement, il n'y a rien à reprocher à ce Zelda : c'est beau, maniable et les musiques sont très jolies, bref parfait. La durée de vie est également énorme, et si vous souhaitez découvrir tous les secrets du jeu, cela vous demandera vraiment beaucoup de temps. Un excellent Zelda, qui vous fera découvrir une grande et belle aventure !
Comme beaucoup, le premier trailer de Wind Waker m'avait juste horrifié ! Pourtant, Nintendo m'a donné une belle leçon, car dès les bandes-annonces suivantes, j'étais subjugué par la beauté incroyable du jeu ! Un véritable dessin animé, et à mes yeux, le plus beau cel-shading jamais réalisé ! Au-delà de la forme spectaculaire, le fond l'est tout autant. Jamais les combats n'avaient été si dynamiques, si fluides, si nerveux. Jamais les donjons n'ont été si intelligents dans leur construction, dommage qu'ils soient si peu nombreux. Le monde est gigantesque, sans aucune coupure ou temps de chargement. Les personnages sont super attachants, Link a 1000 expressions cartoonesques d'enfer et Zelda a enfin une personnalité intéressante ! Du tout bon ! Les voyages en bateau sont vraiment plaisants, mais un peu longuets au final. Les phases de jeu sont plus variées que jamais (le passage d'infiltration clin d’œil à Metal Gear est hilarant) et c'est un vrai plaisir que d'aller au bout d'une aventure aussi palpitante, dotée d'une personnalité unique, et distillant avec beaucoup de subtilités et d'intelligence un nombre hallucinant de références à la saga. L'un des tous meilleurs Zelda !
La plus grande force de Wind Waker, c'est le temps qui passe et qui lui donne raison. Raison d'avoir fait, à une époque où Nintendo risquait beaucoup avec son Cube, un choix visuel tranché et en définitive, intemporel. Et même si on a mangé ce design pendant 10 ans derrière sur DS et que certains personnages secondaires sont de bien mauvais goût, Wind Waker reste un jeu fort sur ce point en se différenciant visuellement, à une époque où les jeux full 3D n'étaient pas toujours du meilleur effet. Il rend aussi concret ce rêve de jouer un dessin animé. Mais un vrai dessin animé, animé correctement, où les personnages ont des expressions et ne sont pas juste des poupées inexpressives se mouvant mécaniquement. Il ne réinvente pas la roue dans son gameplay, puisqu'il est une évolution sage des épisodes 64, mais ose tellement dans son level design. Ce sentiment de prendre la mer, de voguer à travers la tempête vers une île qui n'est alors qu'une masse dans la grisaille, avant de se dévoiler à nous tel un éperon rocheux qu'il faudra prendre d'assaut. Pas parfait et s'essoufflant sur la fin, la faute à un manque évident de donjons, ce Zelda reste néanmoins une belle prise de risque.