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Tout comme dans le jeu télévisé présenté un temps par Arthur, on devra ouvrir des boîtes pour gagner des brouzoufs. Ouvrir des boîtes, voilà, c'est ce que propose le jeu. On ouvre des boîtes. Des boîtes en carton... Pour ma première partie, j'ai gagné 260 000 € ! "Super !" mais que faire de tout cet argent ?? Éteindre la console et partir fissa pour les îles Caraïbes, les valises pleine de billets ? Acheter une maison de campagne dans le Périgord, ou flamber tout l'argent en coupes de champagne et cigares cubains dans les soirées ViP à Miami ?... Amère déception, cet argent n'existe pas ! Je me résigne et je rejoue, j'ouvre des boîtes et je gagne 50 000 €. "Super !" Pour me consoler de ne pas avoir gagné le million, je vais pouvoir m'acheter une grosse voiture... Non, non, non, décidément cet argent n'existe pas. Tout comme ce jeu finalement avec cette musique rock post-apocalyptique fort à propos et des gugusses , tout droit sorti du jeu « Qui-est-ce ? », ouvrant des boîtes en carton. Oubliez toutes les théories énoncées par des lignées de prix nobels, « à prendre ou à laisser » nous permet de comprendre ce qui délimite l'espace et le néant, le tout et le rien, l'infini et le 0.
Blondex
LE JEU INTERDIT !
Arthur, le dieu du divertissement, descendit de la Tour de Boulogne-Billancourt avec la promesse de rendre chaque soir un pauvre mortel riche comme un roi. L’heureux élu se trouvait alors confronté à un jeu étrange, où instinct et chance devaient le conduire à ouvrir des boîtes mystérieuses. Repartira-t-il plein aux as ou couvert de honte ? Peu importe le sort de cet élu en fait, car chaque boîte ouverte libère en réalité un démon de la stupidité, répandant sur le monde des hordes de gens décérébrés aux temps de cerveau infiniment disponibles. Toujours accompagné du Banquier (son sinistre acolyte) et aux ordres du Grand maître de la Tour, Arthur multiplie les boîtes, car pour chaque élu plus riche, des milliers d’autres sont toujours plus cons. Toujours plus avide, l’association maléfique fit appel aux services des développeurs sans âme de Mindscape, qui mirent au point un objet terrifiant : l’aspirateur de vide ! Vendu comme un entraînement au Jeu et prenant la forme d’une carte pour DS, l’objet se révéla toutefois si efficace qu’il entraîna dans le néant ceux qui l’avaient créé. Depuis lors, plus personne n’ose utiliser l’aspirateur de vide.