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Vous êtes un marine posté sur Phoebos, une lune très accueillante de Mars. Apparemment, vu le nombre de démons et de zombies qui rodent dans les parrages, des scientifiques ont fait joujou avec les portes inter-dimensionnelles. A vous de nettoyer toute la base avec votre fusil à pompe (et plus si affinité). De toute façon, vous n'avez pas le choix, d'après les grognements, ça se rapproche. Ce que c'est ? Vous préférez ne pas l'imaginer... Un carnage gore et frénétique, une pression constante, des niveaux labyrinthiques d'une variété impressionnante, Doom est un jeu légendaire, techniquement parfait pour l'époque et fun devant l'éternel. Ce jeu a défini un genre à lui tout seul et continue par son level design et son ambiance de Pandemonium à être LA référence ultime du FPS. Côté armes, c'est le panard complet : de plus en plus gros et de plus en plus dévastateur. On peut même faire un remake de "Massacre à la tronçonneuse" !
Après avoir goûté du Wolfenstein 3D, Doom a été ma deuxième expérience du genre. Doom... Rien que le nom annonce le programme : Ce sera bien violent ! Vous voici donc dans une base spatiale à devoir éradiquer des démons téléportés depuis l'Enfer. Rien que ça. Vous allez donc affronter des créatures aussi hideuses que violentes. Heureusement, votre perso (un Marine) est du genre costaud et brutal. Pas de pitié ici, vous allez éclater tout ce beau monde grâce aux nombreuses armes ramassées ici ou là. Des armes parfois bien cruelles pour vos pauvres victimes... Doom a littéralement marqué le genre (qui porta son nom durant des années !) et agacé de nombreuses associations bien pensantes. Pourtant, à titre personnel, je dois bien admettre avoir eu du mal à rentrer dans l'aventure, tellement celle-ci était "barrée". Je préférais le "réalisme" de Wolfenstein 3D. Néanmoins, Doom, son rythme, sa violence et sa réalisation innovante est sans conteste une pièce maitresse dans l'histoire du jeu vidéo, et un superbe défouloir !
Twinsen Threepwood
PANTHEONIQUE
A l'aube du Pentium premier du nom et juste avant la sortie du lecteur de CD-Rom, est apparu un jeu sur PC qui allait transformer à jamais le jeu vidéo. Son nom : Doom. Plus qu'un exploit technologique ou ludique, Doom allait créer un genre : le FPS, auquel des millions de gamers sont encore accros aujourd'hui. Alors oui, bien sûr, il y eut d'abord Wolfenstein 3D, mais c'est avec Doom que le genre naquit réellement tant il apporta à tous les niveaux. Dans une véritable 3D en temps réel, le joueur incarne un marine tentant de survivre dans l'enfer d'une planète Mars en proie aux démons venus tout détruire sur leurs passages. Sous un scénario bidon, se cache un jeu au game design merveilleusement labyrinthique et ravageur, avec des armes dont on tombe amoureux dès le premier tir (impossible de choisir ma préférée) et des monstres aussi terrifiants qu'inoubliables. Les bruitages sont splendides (surtout pour du MS-DOS) tout comme les musiques et la réalisation artistique, qui reste ma préférée de la saga. Signée du génie John Carmack, Doom est sans limite : un jeu violent, au fun et à l'attrait immédiat, et dont on ne se lasse jamais. A faire pour tout joueur qui se respecte.
Un FPS tellement célèbre qu'il est devenu un genre à lui tout seul, le Doom-Like ! C'est un FPS, nerveux, bourrin et labyrinthique. Quand mon pote me l'avait montré à sa sortie sur son 486 DX2 50, j'étais en extase. Le jeu était incroyablement beau, fluide et tellement gore. Ça a fait boom dans mon petit coeur de jeune gamer qui était sur sa Megadrive en 93. Mon PC ne pouvait pas faire tourner DOOM à l'époque et il m'a fallu finalement bien des années avant de m'y mettre sérieusement et de le terminer. Ce jeu d'apparence simpliste ne l'est pas tant que ça, notamment sur le côté labyrinthique des niveaux. Le game design est de haute volée et il faut parfois bien fouiller pour trouver la sortie. Heureusement la map est là pour aider grandement, même si elle ne fait pas tout. Niveau arsenal nous sommes servis, avec poing, tronçonneuse, pistolet, fusil à pompe, gatling, lance-roquette, fusil à plasma et surtout le BFG 9000 (pour Big Fucking Gun, tout dans la finesse chez IdSoftware). Doom, distribué à la grande époque des sharewares, engendrera plein des rejetons comme Heretic, Hexen, Blood, Rise of the Triad et j'en passe. En bonus, l'OST hard rock est superbe.