Au début quand on vient de l'avoir, on a hâte d'y jouer. Mais dès que l'on commence un combat, la déception se fait sentir horriblement. Les coup qui mettent une seconde à sortir après l'appui sur le bouton, les décors super moches (si on peut appeler ça des décors), la lenteur des combats, les coups qui ne s'enchaînent pas, ... ! Il y a malgré tout un bon nombre de personnages, mais on retrouve souvent les mêmes : par exemple sangoku y est sous 5 formes différentes! En conclusion, je ne conseille ce jeu à personne, ni même aux fans !

Difficile de comprendre ce qui est passé par la tête des développeurs lorsqu’ils ont réalisé ce Final Bout. Cet épisode n’est pas seulement injouable à cause de sa lenteur ahurissante, il est également hideux et sa position face à la série reste un mystère. Si l’univers de DBGT était censé être la grande originalité, on ne retrouve finalement que peu de personnages issus de cette période, et la plupart proviennent de DBZ, ce qui est tout à fait illogique. Pire, on constate une grande part de laxisme dans le choix de ses derniers (Goku est décliné en…six formes différentes, Trunk adulte en trois…). Autant dire que le casting est très loin d’être imaginatif. La plaisanterie, déjà de très mauvais goût, ne s’arrête pas là puisqu’y jouer relève véritablement de la torture. En dehors de sa très sympathique introduction animée et de ses jolis artworks, il n’y a décidément rien qui justifie de s’essayer ne serait-ce que quelques minutes à cet infamie.

Le cadeau empoisonné par excellence, pour tout gamer de cette génération de console ! Etre fan de DBZ, c'est somme tout assez commun, surtout au vue de l'introduction de ce Final Bout, qui clairement fait son effet et c'est un euphémisme ! D'où le terme "empoisonné" venant de l'habillage ! En vrai, un mix du Virtua Fighter du pauvre (et vous savez quel est mon point de vue sur ce jeu) mélangé à une idée de début de commencement d'innovation de quelque chose d'assez maladroit et très con, surtout qui donne un point de vue du niveau du concepteur, j'ai nommé Bandaï. Mais je ne vais pas leur jeter la pierre dans le sens où Bandaï nous a pondu un certain Dragon Ball Z - La Légende Saïen sur SNES ! J'en veux plutôt à la Playstation, mais ça c'est une autre histoire. Maintenant, pour fournir des exemples du plantage complet de ce véritable "sketch" (même pas drôle pour le coup), l'apport de cette 3D hideuse à souhait, associé au côté pas impressionnant pour un sou de la moindre boule de feu avec le mal que l'on a à se diriger dans l'espace, et bien vous avez ce "truc" qui ne faut même pas croiser ne serait-ce qu'une seconde du regard... Allez, aux chiottes !