Après l'épisode Judgment assez moyen, la licence fait son retour sur Xbox One avec Gears of War 4 (qui se déroule plusieurs années après le 3ème volet), et dans lequel on y contrôle cette fois JD (James Dominic), le fils de Marcus Fenix. Et si ce dernier n'est pas jouable dans la campagne solo, il n'est jamais bien loin pour veiller sur la jeune nouvelle équipe. Bien que le jeu ne soit pas aussi épique que les premiers épisodes, le studio The Coalition a su parfaitement respecter les codes de la série tout en y proposant parfois quelques scènes mémorables. Seule la fin paraît un peu vite expédiée, ce qui est quand même un peu dommage. Mais à part ça, pas grand chose à reprocher à ce Gears of War 4 : ça ne sera sans doute pas le meilleur épisode de la série, mais il reste largement à la hauteur de la première trilogie et répare un peu la déception que pouvait être Judgment. Un retour réussi !

Retour de la franchise sur la next gen. On retrouve la bonne vieille série Gears à l'action débordante et sans pause. Déjà, de prime abord, niveau graphismes on en prend plein la rétine tellement c'est beau. L'histoire se déroule 25 ans après la fin de Gears 3. Le monde est débarrassé des Locustes et des Lamnents mais la CGU fait toujours des siennes et la résistance s'organise. Exit Marcus Phenix et ses joyeux drilles jamais en manque d'inspiration pour nous flanquer du badass et des phrases bien salasses, et bonjour à JD Phenix (fils de Marcus) et ses nouveaux potes. JD est beaucoup plus gentil que son père et un peu « j'me la pète », mais on s'attache quand même à ce personnage. Le jeu débute sur de nouveaux ennemis robotisés de la CGU, mais on retrouve vite le grand sanguinolent qui fait le charme de la série, avec toute une tripotée de nouveaux ennemis tous plus puissants et organiques les uns que les autres. L'action est de retour, c'est bourrin et ça ne s'arrête jamais, et c'est ce qu'on demande à cette série.