GHOSTS'N GOBLINS RESURRECTION  
Suggestions
OUI, MAIS...
jumpman Après de nombreuses années à roupiller dans son coin, voilà que notre preux chevalier décide de revenir sur nos consoles pour à nouveau, sauver sa dulcinée. Capcom décida que le jeu devait proposer une réalisation rétro, avec un gameplay 2D à l'ancienne et une difficulté d'une autre époque. Tout cela est bien beau sur le papier, mais pad en main, on déchante quelque peu. Premièrement, je vais pointer du doigt l'horripilante maniabilité du héros, quasi-identique à celui de 1985 ; Un perso lourd, lent et qui ne peut tirer que dans 4 directions, rigide au possible et rendant le jeu encore plus dur à jouer (heureusement, le jeu offre un grand choix de difficulté) ! L'autre souci, c’est l’habillage du jeu en 2.5D et son animation type "jeu flash", qui manque de charisme. Il est vrai que j'aurais préféré une belle 2D finement travaillée. Enfin pour finir, il y a l'arbre des compétences et les "collectibles" qui, certes, propose de la rejouabilité (afin de débloquer des magies et compétences), mais qui trahit l'esprit arcade originel du jeu. Bref, Ce G'n G Resurrection me laisse dubitatif. Il n’est pas mauvais, mais certains choix de Capcom m’ont refroidi à la longue. A essayer quoi…
OUI, MAIS...
Blondex 15 ans après un décevant volet PSP, Ghosts ‘n Goblins revient d’entre les morts, avec une Resurrection en forme de rappel : avant Dark Souls ou de très nombreuses productions indé misant sur une difficulté sans concession, la série que tout le monde redoutait, c’était Ghosts’n Goblins ! Revigoré au RE Engine, et doté d’une réalisation graphique originale où héros et ennemis ont l’air de pantins animés par des fils invisibles, Resurrection réarrange des niveaux des deux premiers volets arcade. Ne reste qu’à commencer, et immédiatement ressurgit le souvenir de jeux qui n’aimaient vraiment pas leurs joueurs. La difficulté prend immédiatement à la gorge – et je ne joue qu’en mode « Écuyer » (facile) – avec des ennemis en surnombre attaquant de tous les côtés, tandis qu’Arthur est revenu avec une maniabilité d’une rigidité crispante reprise presque sans modification de Ghouls’n Ghosts. Durant 7 niveaux de souffrance (doublés par des variantes « Ténèbres ») où les morts s’enchaînent par dizaines, souvent imprévisibles, ce jeu court après son lointain passé en se contentant de réactualiser deux vieux classiques arcade, sans vraiment apporter sa pierre à l’édifice.
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