Nous sommes perdu dans le désert à lutter contre la soif (vite, une oasis là-bas !) et contre des bonshommes nous tirant dessus. On devra éviter les dangereux palmiers et autre chameaux, quand d'autres illustres sages du désert viendront nous offrir de merveilleux cadeaux. Sous ce fatras de choses possibles à faire, le jeu est en réalité un shoot asthmatique où l'absence d'action et le défilement languissant de l'écran nous berceront doucement. Un ennemi vous embête, doublez-le ! Pourquoi s'embêter à viser et à tirer ? Une barre invisible faisant toute la largeur du bas de l'écran, et comprenant notre personnage, élimine tout problème. Elle avale, telle une vague de sable sans fin, obstacles, gredins et possibles alliés. La traversée du désert est certes dépaysante, mais diable, elle est rudement longue !