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Comment faire afin de ne pas tomber sous le charme de cette merveilleuse production ? L'arrivée de SoulCalibur sur Dreamcast a fait l'effet d'un véritable raz de marée ! En effet, Namco a su démontrer que la Deamcast en avait sous le capot... et ça se voit ! Tout d'abord on se prend une grosse claque lorsque l'on voit les sommets atteints par la réalisation générale du jeu. Les décors sont à couper le souffle, et il va sans dire que le travail effectué sur les personnages est de la même trempe : magnifique ! Je ne parle même pas de la jouabilité diaboliquement précise et profonde. Je peux vous garantir que SoulCalibur constitue pour moi le jeu de combat le plus abouti du moment. Une fois les personnages parfaitement maîtrisés (et dieu sait que c'est un travail de longue haleine !), les combats deviennent passionnants ! On ne décroche plus, surtout étant donné les importantes subtilités offertes par le gameplay ! Un vrai bijou, parole de Samouraï !
Rien à faire, ce jeu de Baston 3D est une pure merveille. Quel choc lorsque les premières images de ce jeu sont apparues !!! Et que dire lorsque j'ai pris la manette pour la première fois !!! Namco, Sega et la Dreamcast frappaient un grand coup avec ce jeu et redonnaient du même coup espoir à des millions de gamers. Décors, animation, jouabilité, musique, modes de jeu, histoire, ambiance, charisme des persos (mine de rien, c'est un élément clé du jeu : on a envie de jouer avec tous les persos ! Mitsurugi, Kilik, Sophitia, Astaroth...), majesté des combos, des enchaînements, des chopes et des effets de lumières, tout confine à la perfection. La grande classe !
Jeu phare des débuts de la Dreamcast, Soulcalibur est certainement l’un des jeux de combat les plus remarquables de sa génération. Nettement plus beau que la version arcade, Soulcalibur creuse également un écart considérable avec Soul Blade, en permettant de vrais combats en 3D. La révolution s’appelle en effet « 8-way run », un système qui libère le joueur des contraintes de la 3D dans le jeu de combat, et permet des déplacements rapides, en sacrifiant les sauts surréalistes de son prédécesseur. Soulcalibur, ce n’est pas que des beaux duels, c’est également des décors réussis, des combattants charismatiques, des modes de jeux nombreux (dont un mode Aventure) et un charme qui fait la marque des grands classiques. Aujourd’hui, il souffre quelque peu de la comparaison avec sa suite directe Soulcalibur II. Le contrôle apparaît un peu rigide, les coups et enchaînements moins nombreux, et les arènes de combat n’offrent aucune interaction avec le décor. Si ces éléments prouvent bien que Soulcalibur était perfectible, ses apports dans le jeu de combat sont tels que ses suites ne peuvent plus que proposer des (légères) évolutions, à défaut de révolutions.
J'ai toujours eu du mal avec les jeux de baston 3D. Pas assez de charisme chez les personnages (Tekken), graphismes hideux (Virtua Fighter) ou système de combat douteux (Dead or Alive), je n'arrive jamais à accrocher contrairement à la valeur sûre en 2 dimensions. Pire, j'en viens même à un point où il faudrait bannir ce genre à tout jamais, tant l'absence total de bons jeux sortis sous ce format. Mais dans Soulcalibur, je suis bien obligé d'admettre deux choses criantes : les guerriers ont du style et les graphismes sont merveilleux de beauté ! Quand on voit Kilik, Mitsurugi, Sophitia, Cervantes ou encore Siegfried, on ne peut que constater une chose : on a enfin envie d'incarner ses personnages ! Et la liste est longue ! Et dans un second temps, toutes les capacités de la Dreamcast ont été réunies pour nous offrir du clinquant ! Reste plus qu'un aspect technique des combats des plus ardues qui m'horripile toujours autant... Finalement, bien que je préfère encore la 2D et que cette forme de combat demeure pour moi difficile d'accès, Soulcalibur réunit tellement de bonnes choses qu'on ne peut que s'incliner !
Twinsen Threepwood
LE PLUS GRAND JEU DE VERSUS 3D
Vitrine technologique et jeu culte de la Dreamcast, Rolls des 128 Bits, Soul Calibur est un jeu de baston 3D absolument parfait en tout point. RIEN mais absolument RIEN ne manque ou ne souffre d'un quelconque défaut dans ce jeu. Graphiquement, c'est sensationnel : pour la première fois, les persos sont modélisés autour d'un bloc unique de polygones, ce qui leur confère une absence totale d'angle carré ou de jointure disgracieuse. Les arrondis sont parfaits, les vêtements volent dans le vent de façon naturelle et fourmillent de détails. Les animations, faites en motion capture, sont signées par de très grands maîtres du Kata japonais. Les décors sont renversants et ultra détaillés, les lumières magnifiques, l'animation caracole à un 60 FPS constant ne souffrant jamais d'aucun ralentissement. Tous les styles de combats sont présents, du plus bourrin ou plus subtil, du plus classique au plus bizarre. Les persos répondent à merveille, les combos s’enchaînent de façon déconcertante et libertaire. Les breaks, contre-breaks pleuvent et la caméra n'est jamais paumée. Tous les modes-clés sont là, on a même les voix Anglaises et Jap. Une perfection que même ses 4 suites n'égalent pas.
PXL
ARME BLANCHE MAIS PAS DE SANG
Ce jeu a tout simplement changé la façon dont on concevait les jeux de combats en 3D. Il y avait déjà eu Soul Edge sur PS1, mais SoulCalibur apporte, en plus d'une technique graphique tout simplement incroyable, le système 8-Way-Move. C'est, à ma connaissance, le premier jeu de combat 3D où on peut vraiment tourner autour de son adversaire. Le jeu dispose d'un roster haut en couleur où chacun y trouvera son compte, chaque personnage disposant d'un charisme absolu. Que ce soit katana, nunchakus, épée-fouet, etc., il y en a vraiment pour tous les goûts. Pas de boules de feu ou autres joyeusetés du genre dans ce soft, mais il y a un système de break pour contrer une prise ou un coup vertical ou horizontal, permettant dans la demi-seconde qui suit de briser la garde de son adversaire et prendre l'avantage. Ces contres se font dans un éclat de lumière du plus bel effet. Je le dis encore, mais graphiquement ce jeu est une vraie tuerie. Sorti de ça, des persos cachés sont à débloquer, et un mode story apporte des objectifs plus ou moins bizarres, mais fait gagner de nombreux bonus (illustrations, costumes), le tout sans ces DLC trop chers. Le premier SoulCalibur, mais aussi le meilleur.
Que de souvenirs avec ce Soulcalibur sur Dreamcast !! C'était une époque où je conchiais sur les jeux de baston en 3D, que je trouvais moches et injouables... Et puis un jour, j'ai découvert ce Soulcalibur, et là, j'ai pris une méga-claque dans ma gueule ! Il me fallait être honnête ; j'avais là, un jeu de baston 3D d'une beauté incroyable ! Les protagonistes étaient charismatiques et très détaillés. On était loin des persos cubiques dégueulasses que j'imaginais... Et puis, l'animation elle aussi était dingue, avec cette caméra qui tournait et suivait le joueur dans les arènes sans jamais le trahir ; la visibilité était toujours optimale ! Le gameplay lui, était un sans-faute et les coups spéciaux sortaient sans problèmes. Et enfin, la bande-son était à l’image du reste, superbe. Vous l'aurez compris, ce Soulcalibur m'a carrément scotché à l'époque ! C'était ma première fois avec un jeu de baston 3D et j'ai eu la chance de tomber sur ce titre incroyable, avec sa réalisation en béton armé et son ambiance arcade !
Après un Soul Blade déjà très pertinent sur PS1, Namco décide de reprendre le concept du jeu de combat 3D à l'arme blanche pour un nouvel épisode érigé sur les bases de son aîné. Ainsi naquit la célèbre série de SoulCalibur en juillet 1998 en Arcade. Toutes les formes de combat à l'arme blanche y passent ou presque, des plus classiques aux plus excentriques : samouraï, pirate pratiquant de kung-fu, maîtresse sado-masochiste, épéiste, bûcheron démoniaque, chevalier des ténèbres... Basé sur un système de garde, de straf latéral et d’enchaînements, le jeu est précis et vif. Les arènes de combats sont variées et dangereuses, puisque le ring-out a traumatisé beaucoup de joueurs en engendrant la perte systématique du round en cours. L'ambiance du jeu essentiellement médiévale donne un vrai cachet à la direction artistique, bien loin des exploits en matière de mauvais gout de Tekken, l'autre jeu de combat 3D de Namco. Techniquement, la Dreamcast fait très fort et Soul Calibur était sans conteste le plus beau jeu du monde à sa sortie en août 1999. Un jeu iconique de la dernière console de Sega, qui donne naissance à une série de baston réputée du Versus Fighting.
Quelle claque ! Après un excellent Soul Edge/Blade sur PS1, Namco frappe encore plus fort, c'est le cas de le dire, sur Dreamcast avec SoulCalibur. Le portage de la version arcade est parfait, et force est de constater que malgré son âge, le jeu n'a pas du tout vieilli tant il reste encore un véritable régal pour les yeux de nos jours. Les décors sont magnifiques, variés, et les personnages encore plus détaillés qu'avant. On retrouve des rescapés du jeu précédent mais aussi pas mal de nouveaux. Le gameplay conserve les bases tout en les améliorant, à savoir des coups horizontaux et verticaux permettant des combos. On y prend un plaisir immense, même avec la manette de la console, qui permet des enchainements de malade. Le jeu en solo bénéficie d'un mode aventure remanié et plus cohérent, et à deux, on ne s'arrête plus. De superbes musiques épiques et de jolies voix accompagnent tout cela, ajoutant à l'unité de l'ensemble. Mieux encore, le jeu est d'une fluidité à toute épreuve. Namco a réalisé un double exploit avec ce jeu : en faire non seulement une référence de la console à spirale de Sega, mais également une dans le monde du jeu de baston. Chapeau !